Allergie aux puces chez le chien : est-ce possible, et comment l’aider ?

Voilà des semaines, voire des mois, que votre chien se gratte, parfois jusqu’au sang ou jusqu’à se créer des croûtes. Vous vous demandez donc s’il ne serait pas victime d’une allergie aux puces du chien.

Dans cet article, vous allez découvrir non seulement que ce souci d’allergie du chien est bien souvent un faux diagnostic, mais également ses origines réelles. A la fin de votre lecture, vous aurez en main de quoi aider votre chien avec un traitement naturel, pour le soigner de son souci dermatologique. Découvrez par la même occasion de nombreux témoignages certifiés de maîtres qui; comme vous; ne s’en sortaient pas avec les problèmes de peau chez leur chien.

Quels sont les symptômes de cette prétendue allergie aux puces du chien ?

Bien sûr, les démangeaisons très fréquentes est le symptôme le plus courant de ce que l’on appellera pour l’heure “allergie aux puces du chien”. Cependant, d’autres symptômes sont caractéristiques de ce prétendu souci de santé :

• Les démangeaisons localisées sur les pattes
• Les rougeurs de la peau, et irritations sous le poil du chien
• Les croûtes, liées à ces démangeaisons incessantes
• Éventuellement une peau qui produit des pellicules ou desquame
• La perte de poils, par zones de dépilation

Vous reconnaissez bon nombre de symptômes que subit votre chien dans cette liste ? La suite de l’article va vous aider à comprendre d’où cela provient réellement, et comment faire stopper ce souci.

Votre chien est-il réellement allergique aux puces ?

Vous allez voir que la question de l’allergie du chien aux puces n’est pas si évidente qu’on ne pourrait le penser…

Un mythe : l’allergie du chien aux puces

Si vous ou votre vétérinaire soupçonnez une allergie aux puces, c’est sans doute que votre chien y a été exposé… (ou pas…) La logique de base semble bonne. Vous vous attelez donc à faire disparaître les éventuelles puces de votre chien ainsi que de son environnement. Cependant, nombreux sont les maîtres qui ne voient pas de puces, en somme, une “allergie aux puces sans puces”…

Seulement, une fois cette potentielle source d’allergie du chien éloignée… vous vous rendez compte que votre compagnon continue à subir des démangeaisons incessantes. En somme, votre chien se gratte sans puces.

Comment est-ce donc possible qu’il soit allergique à ces bêtes ? L’allergie aux puces du chien n’est, dans la majeure partie des cas, pas la cause réelle des démangeaisons de votre compagnon…

La réalité : la dermatite d’origine alimentaire

Pour comprendre pourquoi votre chien se démange sans présence de puces sur lui, il faut comprendre comment fonctionne son organisme, et notamment sa peau. On appelle la peau un “système émonctoire” : c’est un organe qui, au même titre que les reins, le foie ou les poumons, permet à l’animal de se libérer d’éléments toxiques qui le dérangent.

Or, c’est exactement ce qui se passe dans la majorité des cas de chiens qui se grattent tout le temps. Un ou plusieurs éléments (liés à l’alimentation, vous allez le voir) viennent irriter le système digestif du chien. Son organisme réagit alors en faisant fonctionner ses organes émonctoires. Parmi eux on retrouve : les reins, le foie, les poumons et la peau du chien. La peau sera dans l’allergie davantage sollicitée pour bien des raisons.

Ainsi, le chien libère ces éléments toxiques par sa peau, et ceux-ci passent alors par ses pores. Résultat ? Au passage dans les pores, ils irritent la peau du chien, et créent ces démangeaisons incessantes. Plus qu’une allergie aux puces du chien, on parle alors d’allergie alimentaire du chien, de dermatite atopique, ou de dermatite d’irritation.

Eh oui ! Il est fort probable que votre chien ne soit pas du tout allergique aux puces… Reste à savoir quels sont ces fameux “éléments toxiques” qui le dérangent tant.

Mais alors, à quoi votre chien est-il réellement allergique ?

Comme souvent aujourd’hui, pour comprendre l’origine de la dermatite du chien, il faut se pencher sur le contenu de sa gamelle. Vous allez voir que 3 éléments majeurs sont à l’origine du chien qui se gratte actuellement.

Les protéines et graisses animales de qualité discutable

Si votre chien est un carnivore, c’est donc qu’il a des besoins en protéines et graisses animales importants. Cependant, on oublie que la quantité ne fait pas tout : la qualité de ces protéines animales peut en effet porter préjudice à la santé de votre compagnon, et notamment à sa santé dermatologique.

Ainsi, les protéines et graisses animales de qualité discutable provoquent sur son système digestif des irritations très importantes. Son organisme réagit alors en déclenchant le système émonctoire de la peau, engendrant ainsi les fameuses démangeaisons du chien.

Mais alors quelles sont donc ces protéines et graisses animales qui nuisent à la santé de votre chien ? Malheureusement, on en trouve quantité dans les produits disponibles sur le marché :

• Les sous-produits animaux²³, qui constituent en fait un rassemblement de bien des bas-morceaux d’animaux que nous, humains, ne consommons pas. Vous y retrouverez notamment : têtes, carcasses, cuirs, pattes, becs, plumes, et autres joyeusetés fortement irritantes.
• Les protéines animales issues de pays aux législations laxistes ne sont pas peu communes également. Par exemple, dans les pays d’Amérique du Nord, il est extrêmement fréquent (et légal) de voir les fabricants intégrer aux pâtées ou croquettes pour chien des viandes avariées recyclées à la Javel⁴ ou à l’acide. Dans les mêmes pays, on trouve également dans ces aliments des “viandes fraîches” reconstituées à partir d’un mélange de farines animales dont on ne connaît presque jamais l’origine, de minéraux, de graisses et surtout d’eau (80% en général). Vous imaginez bien les possibles répercussions sur la santé de votre animal !

D’ailleurs, ces ingrédients de qualité pour le moins discutable ne sont pas uniquement à l’origine de dermatites chez les chiens. Ils provoquent également des selles molles et diarrhées chroniques, des vomissements de bile, des troubles hépatiques, ou encore des pancréatites aiguës, insuffisances rénales…

Les légumes, tubercules, légumineuses ou fruits

Si vous avez bien lu le début de l’article, vous savez alors que votre chien est incapable par nature de digérer ses ingrédients. Pire : ils provoquent eux aussi chez lui des irritations du système digestif et particulièrement de la flore intestinale, à l’origine de dermatites.

Or, on retrouve dans nombre d’aliments pour chien sur le marché des pommes de terre, patates douces, lentilles, pois, pois-chiches, petits pois, tomates, courgettes et autres incongruités.

D’ailleurs, on s’étonnera peu du fait que le Centre Antipoison de l’Ecole Nationale Vétérinaire classe depuis plusieurs années déjà la pomme de terre⁵, le raisin⁶, l’ail et l’oignon⁷ comme toxiques.
Ou encore que la Food and Drug Administration (FDA) des Etats-Unis fasse cas, chaque année dans de multiples rapports, du lien très probable entre certains légumes, leurs dérivés (amidon de…, fibre de…, protéine de…) et des cas de cardiomyopathies chez les chiens⁸⁹¹⁰. Parmi ces légumes que cite la FDA, on retrouve la totalité des légumineuses et tubercules cités précédemment.

Les métaux lourds

Peut-être en avez-vous déjà entendu parler, de ces métaux lourds. Ils sont très souvent mentionnés comme faisant partie intégrante de notre environnement. On connaît bien leurs effets nocifs sur la santé dermatologique des humains, mais aussi des chiens. Ils provoquent en effet des dermatites, mais également des cancers de la peau ou des mélanodermies¹¹.

Or, on les retrouve en quantité parfois très impressionnante dans la nourriture animale. C’est notamment ce qu’on montré deux études récentes en 2017 : l’une britannique¹², l’autre italienne¹³. Dans l’une de ces deux études, on découvre notamment que 24% des aliments pour chien et chat analysés contiennent des concentrations totales en Arsenic (un métal lourd) qui dépassent les limites légales fixées par la directive 2002/32 /CE.
D’ailleurs, sur les années 2011 et 2012, l’un des deux laboratoires de recherche ont trouvé la situation si inquiétante, qu’ils ont envoyé pas moins de 7 notifications au RASSF¹⁴ à ce sujet.

Vous l’aurez saisi : c’est bien le contenu de la gamelle de votre compagnon qui provoque ces démangeaisons incessantes, et non une potentielle allergie du chien aux puces. Les puces ne sont finalement que la goutte d’eau qui fait déborder le vase. Donc ne nous trompons pas d’ennemi, au risque d’y perdre un temps précieux pour aider votre animal. Heureusement, il est tout à fait possible de l’aider à se débarrasser de ce souci de santé.

Comment aider le chien qui se gratte sans cesse ?

Traitements homéopathiques contre les allergies du chien, désensibilisation, croquettes pour chien anti-démangeaisons… Les solutions potentielles au souci du chien qui se gratte ne semblent pas manquer.

Cependant, en tant qu’éleveurs passionnés de santé animale depuis plus de 30 ans, nous constatons qu’une seule solution est véritablement efficace et durable : le fait de remonter à l’origine du souci, et de traiter le problème par la racine.

Voici donc 3 étapes-clés à suivre à la lettre pour aider votre chien à se débarrasser de ses soucis de dermatite. Dans la majeure partie des cas, suivre l’étape 1 suffira à faire disparaître les symptômes rapidement, et aider votre compagnon à retrouver une pleine santé.

Etape 1 : Lui choisir une nourriture adaptée à ses Besoins Biologiques et Naturels

Tout ce que vous avez lu à propos de la qualité des aliments pour chien disponibles sur le marché à ce jour peut être effrayant. Il peut être aisé de s’y perdre, surtout avec des compositions qui peuvent sembler obscures sur les étiquettes des aliments.

Et si nous revenions au bon sens ? C’est ce que nous vous proposons lorsque nous parlons d’une nourriture adaptée aux Besoins Biologiques et Naturels du chien : il s’agit d’aliments qui souscrivent à leurs besoins originels.

Et c’est simple : pour lui trouver une nourriture de qualité, il suffit de retenir 5 critères-clés et naturels de qualité alimentaire. Sa nourriture doit être…

1. Sans légume, sans tubercule, sans légumineuse, sans fruit. Vous l’avez vu : c’est un absolu essentiel pour sa santé dermatologique, mais également pour sa santé tout court.
2. Gorgée de protéines et graisses animales provenant d’abattoirs agréés à la consommation humaine, et provenant de pays aux législations fermes. C’est en effet le seul moyen d’éviter totalement les sous-produits ou pratiques de fabrication qui peuvent mener à des soucis de santé. Privilégiez donc un aliment produit dans un pays ferme en termes de lois, comme la France et dont les ingrédients proviennent également de ce pays. Peu parlent de l’origine de leur ingrédients, et pour cause… Il est normal de demander plus de transparence.
3. Testée en laboratoires contre les métaux lourds, mais également contre les mycotoxines et OGM. La transparence des fabricants est bien la seule solution pour savoir si leur nourriture évite ces éléments si nocifs pour la santé de nos compagnons.
4. Limitée à 33% de taux de glucides (soit ⅓ de la composition de l’aliment). C’est seulement au-delà de ce taux que les glucides peuvent nuire à sa santé, en provoquant du diabète, de l’obésité, ou des infections urinaires chroniques¹⁵.
5. Cuite à basse température. En effet, cuits à haute température, certains ingrédients libèrent des éléments nocifs : des acrylamides¹⁶, cancérigènes, et des Advanced Glycated End products (AGE)¹⁷, toxiques pour les reins du chien.

En choisissant une telle nourriture, dans la plupart des cas de dermatite et d’irritation de la peau, puces ou non, vous verrez très vite les soucis de démangeaisons de votre chien disparaître. Preuve qu’il ne s’agissait bien souvent pas d’une allergie aux puces du chien !

Etape 2 (en cas de dermatite avancée) : La viande crue comme coup de pouce à la nature

Si votre chien se gratte depuis longtemps déjà, peut-être la nature aura-t-elle besoin d’un petit coup de pouce pour aider votre chien à se soigner. C’est dans ce cas le moment de l’aider : ajoutez donc à sa ration quotidienne une part de viande crue. Aucune croquette, aussi bonne soit-elle, ne pourra remplacer l’effet bénéfique de ces protéines animales au naturel.

Il peut s’agir de poulet, de canard, de dinde ; mais évitez surtout le porc (acidifiant) et le bœuf (à l’origine de bon nombre d’intolérances).

En termes de quantité, vous pouvez pencher pour un mélange de la moitié de sa ration habituelle en croquettes, et de 1,1% de son poids en viande crue. Par exemple, si votre chien fait 10 kg, vous pourrez lui donner 110 grammes de viande crue à chaque ration, mélangés à la ½ portion d’une bonne croquette.

Quoiqu’il en soit, n’hésitez pas à nous contacter par email pour obtenir nos conseils sur le sujet. Chaque chien, et chaque cas de dermatite ou d’irritation de peau, étant différent, nous restons disponibles pour vous accompagner !

Etape 3 (si les symptômes persistent) : Lui faire faire un grattage de peau

Voilà 3 semaines que votre chien est alimenté avec une nourriture de qualité, et vous ne voyez pas ses symptômes de dermatite s’améliorer ? Il est temps de vous rendre chez votre vétérinaire, pour lui demander un grattage de peau.

En effet, il est fort probable que votre chien soit victime d’une surinfection de la peau, causée par un champignon, une bactérie ou une levure. Le vétérinaire prélèvera alors un petit échantillon très superficiel de la peau de votre chien avec un scalpel (cela est totalement indolore), le mettra en culture, et l’analysera. Ce sera le seul et unique moyen de trouver l’élément qui cause ses démangeaisons, et donc de trouver le traitement adapté contre cette surinfection de la peau, qu’elle soit bactérienne, à levure ou à champignon.

La dermatite ne doit donc pas être confondue avec l’allergie aux puces du chien. C’est bien d’une origine alimentaire qu’il faut vous préoccuper, et les étapes ci-dessous devraient vous aider à faire cesser les grattements incessants de votre compagnon.

CONTRE LES DÉMANGEAISONS, REPENSEZ SON ALIMENTATION

Afin de savoir comment procéder, profitez de cet instant pour télécharger l'infographie ci-dessous. Retenez bien les 5 critères ESSENTIELS qu'elle énonce. Ils sont simples et efficaces. Grâce à eux, de nombreux maitres nous disent qu'ils ont perçu des améliorations sur la peau de leur chien. Et quelle joie de retrouver un compagnon enfin apaisé !

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Références

1. Mammalogy – Adaptation, Diversity, Ecology, de A.George Feldhamer Lee C. Drickamer Stephen H. Vessey Joseph F. Merritt Carey Krajewski – edition Johns Hopkins University Press (4ème édition) – 27 mars 2015[↑]
2. SIFCO (Syndicat des Industries Françaises des Coproduits Animaux) – Valorisation des sous-produits ou co-produits animaux : https://www.sifco.fr/valorisation#coproduits[↑]
3. RÈGLEMENT (CE) No 1069/2009 DU PARLEMENT EUROPÉEN ET DU CONSEIL – du 21 octobre 2009 – établissant des règles sanitaires applicables aux sous-produits animaux et produits dérivés non destinés à la consommation humaine et abrogeant le règlement (CE) no 1774/2002 (règlement relatif aux sous-produits animaux) : https://eur-lex.europa.eu/LexUriServ/LexUriServ.do?uri=OJ:L:2009:300:0001:0033:FR:PDF[↑]
4. Viandes avariées recyclées aux Etats Unis et en Europe : https://www.amisdelaterre.org/communique-presse/tafta-ttip-la-viande-a-la-javel-s-approche-de-nos-assiettes/[↑]
5. Toxicité digestive et nerveuse de la Pomme de terre – Centre antipoison Animal de l’Ecole Nationale Vétérinaire : https://www.centre-antipoison-animal.com/pomme-terre.html[↑]
6. Le raisin : enregistré au Centre Antipoison Animal, Chapitre “plantes toxiques” : https://www.centre-antipoison-animal.com/raisin.html[↑]
7. L’ail et l’oignon : enregistrés au Centre Antipoison Animal, Chapitre “plantes toxiques” : https://www.centre-antipoison-animal.com/oignon.html[↑]
8. FDA (U.S. Food and Drug Administration) : FDA Investigation into Potential Link between Certain Diets and Canine Dilated Cardiomyopathy / Enquête de la FDA sur le lien possible entre certains régimes et la cardiomyopathie dilatée canine – Mis à jour le 27 juin 2019 : https://www.fda.gov/animal-veterinary/news-events/fda-investigation-potential-link-between-certain-diets-and-canine-dilated-cardiomyopathy[↑]
9. FDA (U.S. Food and Drug Administration) - Questions & Answers: FDA Center for Veterinary Medicine’s Investigation into a Possible Connection Between Diet and Canine Heart Disease - June 27, 2019 : https://www.fda.gov/animal-veterinary/animal-health-literacy/questions-answers-fda-center-veterinary-medicines-investigation-possible-connection-between-diet-and[↑]
10. Tous les rapports de DCM : Dilated Cardiomyopathy in Dogs & Cats : Complaints Submitted to FDA-CVM - January 1, 2014 – April 30, 2019 : https://www.fda.gov/media/128303/download[↑]
11. R. Garnier, J. Poupon, A. Villa – Arsenic et dérivés inorganiques – Centre antipoison et de toxicovigilance de Paris, Hôpital Fernand Widal, France, 31/03/2008 ; [16-002-A-30] – Doi : 10.1016/S1155-1925(08)50377-6 : https://www.em-consulte.com/article/135054/arsenic-et-derives-inorganiques[↑]
12. M. Davies , R. Alborough , L. Jones , C. Davis , C. Williams , et DS Gardner, (2017) : Mineral analysis of complete dog and cat foods in the UK and compliance with European guidelines “Analyse minérale d’aliments complets pour chiens et chats au Royaume-Uni et conformité aux directives européennes.” : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC5719410/#CR5[↑]
13. Squadrone S , Brizio P , Simone G , Benedetto A , Monaco G , Abete MC – “Presence of arsenic in pet food : a real hazard ?” (Présence d’arsenic dans les aliments pour animaux de compagnie : un danger réel ?) – Vet Ital. 29 décembre 2017; 53 (4) : 303-307. doi : 10.12834 / VetIt.530.2538.2. : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/29307124 (Version entière au format PDF : http://www.izs.it/vet_italiana/2017/53_4/VetIt_530_2538_2.pdf[↑]
14. RASFF - Food and Feed Safety Alerts : Créé en 1979, RASFF permet un partage efficace des informations entre ses membres (autorités nationales de sécurité des aliments des États membres de l'UE, Commission, EFSA, ESA, Norvège, Liechtenstein, Islande et Suisse) et fournit un service 24h / 24 pour garantir les notifications sont envoyées, reçues et traitées collectivement et efficacement. Grâce au RASFF, de nombreux risques en matière de sécurité alimentaire ont été évités avant d'avoir pu être nocifs pour les consommateurs européens. - https://ec.europa.eu/food/safety/rasff_en[↑]
15. Faculté de Médecine Vétérinaire de Montréal – Service diagnostic – Urology : https://www.medvet.umontreal.ca/servicediagnostic/materiel_pedagogique/urologie/uro_chimie.html[↑]
16. FRC (Fédéraction Romande des Consommateurs) - Croquettes pour chat : la gamelle qui rend malade : https://www.frc.ch/croquettes-pour-chat-la-gamelle-qui-rend-malade/[↑]
17. Bohlender JM (Klinik für Innere Medizin III, Universitätsklinik Jena, Erlanger Allee 101, Jena, Germany), Franke S, Stein G, Wolf G : Advanced glycation end products and the kidney - Am J Physiol Renal Physiol. 2005 Oct;289(4):F645-59 : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/16159899[↑]