Les 4 origines de l’insuffisance pancréatique du chien, et la solution pour le soigner

Votre chien a tendance à avoir souvent des selles liquides ou selles “bouseuses”, voire même “huileuses” ? Il perd du poids mais a toujours un appétit normal, voire plus développé que d’habitude ?

Face à ces symptômes, votre vétérinaire réalise un diagnostic plus poussé, notamment des selles, et vous annonce qu’il souffre d’une insuffisance pancréatique du chien.

Si le terme fait peur en soi, il convient d’être optimiste : il est tout à fait possible de guérir un chien qui souffre d’une insuffisance pancréatique, notamment lorsqu’elle fait suite à une pancréatite chez le chien. Vous allez découvrir comment dans cet article, après avoir bien compris les 4 origines de ce souci.

Les origines réelles de l’insuffisance pancréatique du chien

En bon maître soucieux de la santé de votre animal, votre premier défi consiste à prêter attention aux origines de l’insuffisance pancréatique chez le chien. Et bonne nouvelle : à la fin de cette partie, vous aurez déjà en tête quelques pistes pour soigner votre compagnon.

Mais avant d’aller plus loin, il est important de recadrer certaines croyances, et d’observer où en sont réellement les études scientifiques sur l’insuffisance pancréatique du chien. En effet, beaucoup d’informations sont en général prises comme “vérités” sans vérification, alors qu’il n’en est rien. A cause de ces fausses vérités, vous vous retrouvez souvent très vite limité dans votre approche pour réellement aider votre chien.

Soyons clairs, une chose est sûre : la cause la plus fréquente à l’insuffisance pancréatique exocrine chez le chien est l’atrophie acineuse pancréatique¹. Il s'agit concrètement d’une diminution du volume des cellules acineuses pancréatiques, cellules qui ont notamment pour fonction de synthétiser les enzymes digestives².

La question qui vient naturellement ensuite est bien évidement : quelle est la cause de l’atrophie de ces cellules pancréatiques chez le chien ?

Il a été clairement démontré que la réaction inflammatoire précède l'atrophie acineuse pancréatique. Les résultats suggèrent que cette inflammation conduit à l’atrophie progressive du tissu acineux (cellules pancréatiques produisant les enzymes digestives) du pancréas³. L’origine et la cause directe de l’insuffisance pancréatique du chien serait donc liée à l’inflammation du pancréas, ce qui est finalement assez logique.

Quelques textes s’avancent, sans doute un peu trop vite, en suggérant une origine auto-immune car observant une médiation immunitaire face à la présence de lymphocytes B et T. Cette origine reste très discutée³, en effet, ce serait oublier que cette médiation lymphocytaire est commune à toutes les inflammations chroniques (immunité cellulaire et immunité humorale).

En effet, dans l’inflammation chronique du pancréas ou pancréatite chronique, on observe systématiquement une inflammation lympho-plasmocytaire chronique évoluant vers la fibrose et la perte fonctionnelle de l’organe.

Le maintien du phénomène inflammatoire a cette conséquence : les lésions tissulaires pancréatiques ne se régénèrent pas correctement. Un infiltrat inflammatoire chronique, contenant majoritairement des cellules immunitaires, persiste. Enfin, un phénomène de cicatrisation pathologique s'installe : c'est la fibrose (augmentation de la proportion de collagène). C'est cette dernière caractéristique qui prédomine dans l'inflammation chronique, et qui est responsable de la perte ou de la diminution de la fonction des cellules acineuses du pancréas.

Soyons clairs : aujourd’hui on trouve très peu d’études sur l’origine de ces inflammations chroniques pancréatiques. La médecine vétérinaire explique elle-même que la cause primitive responsable des pancréatites chroniques chez le chien est souvent inconnue et que seuls des facteurs favorisants ont été identifiés¹.

Aujourd’hui, les traitements semblent se baser uniquement sur la symptomatologie et non sur la cause inflammatoire⁴. On s'arrête malheureusement souvent là… Vous devenez dépendant des médicaments … Vous voilà bien avancé, n’est-ce pas ?

Pourtant, à CROQ’ la Vie, grâce au protocole de bon sens que nous avons mis en place, nous constatons la guérisons d’un très grand nombre de pancréatites chroniques comme en témoigne une quantité de témoignages certifiés :

Rappelons modestement que la démarche scientifique est basée sur la reproductibilité de résultats significatifs. Et c’est justement la reproductibilité de ces très nombreuses guérisons qui nous laisse penser que l’origine de la majorité des pancréatites chroniques et aiguës est bel est bien liée à la qualité de l’alimentation de nos chiens.

C’est pourquoi nous vous proposons maintenant de découvrir différentes origines alimentaires capables d'entraîner ces inflammations chroniques du pancréas, et donc, avec le temps, cette fibrose et ces atrophies des cellules acineuses menant à l’insuffisance pancréatique chez votre chien.

Les éléments inflammatoires dans son alimentation

Revenons-en aux bases de l’alimentation pour la santé de nos animaux.

Les légumes, tubercules, légumineuses et fruits dans leur alimentation

Vous l’avez compris, il va vous falloir pencher sur le contenu de sa gamelle : car c’est bien là que se trouvent les 3 autres origines du souci.

A commencer par les légumes, légumineuses, tubercules ou fruits. Tout d’abord, il est important de souligner que, même si ces ingrédients se retrouvent souvent dans la nourriture animale ces dernières années, ils ne sont en rien adaptés au régime naturel et physiologique de nos chiens. En effet, le chien est un carnivore, comme en témoigne ses intestins, 3 fois plus court que celui de l’homme, lisse et sans haustration⁵, qui lui rend impossible la digestion de ces aliments. Donnez lui une carotte, elle resortira intacte !

Quel est le sens aujourd’hui de donner de la pomme de terre, de la patate douce, des pois, lentilles, pois-chiches, petits-pois, haricots, tomates, … dans son alimentation ?

Faut-il réellement s’étonner que le résultat soit des troubles digestifs : diarrhée, vomissement de bile, gastrite, … ? Mais également des pancréatites aiguës à répétition ou chroniques, pouvant amener jusqu’à la l’atrophie acineuse et la fibrose du pancréas et donc à l’insuffisance pancréatique exocrine chez le chien ?

Et malheureusement, les méfaits de ces ingrédients sur la santé de nos compagnons ne s’arrêtent pas là. En effet à CROQ' la Vie, on constate depuis 2015, qu’ils sont également à l’origine de plus en plus de troubles hépatiques, de dermatites, de paralysies progressives du train arrière jusqu’à de potentielles pathologies cardiaques graves.

D’ailleurs, en apprenant cela, vous ne serez pas surpris de découvrir que plusieurs organismes réputés dans la santé animale considèrent ces ingrédients comme très dangereux pour nos chiens. C’est notamment le cas…

• Du Centre Antipoison Animal de l’Ecole Nationale Vétérinaire, qui classe d’ores et déjà la pomme de terre⁶, le raisin⁷, l’ail, le poireau et l’oignon⁸ comme “toxiques” pour eux
• De la FDA, la Food and Drug Administration, aux Etats-Unis, qui signale de plus en plus depuis 2017, dans de multiples rapports, le lien très probable entre certains légumes cités précédemment, leurs dérivés (amidon de…, fibre de…, protéine de…) et des cas de cardiomyopathies chez les chiens⁹¹⁰¹¹

Conclusion ? Qu’il s’agisse de pommes de terre, de patates douces, de lentilles, de pois, de pois-chiches, de petits pois, de tomates, de courgettes ou d’autres incongruités dans le genre, il est certain qu’ils jouent un rôle important dans l’inflammation chroniques du pancréas de votre chien et dans son insuffisance pancréatique… Ils sont, comme vous l’imaginez bien, à exclure formellement !

Les protéines animales de mauvaise qualité ou inadaptées

Le saviez-vous ? La nourriture de nos compagnons domestiques est truffée de protéines et graisses animales de qualité peu recommandable… et bien plus que vous ne pourriez l’imaginer, même ! Et c’est d’ailleurs là la troisième origine de l’insuffisance pancréatique chez les chiens aujourd’hui.

En effet, les protéines et graisses animales de mauvaise qualité produisent sur le système digestif de nos compagnons les mêmes effets que les légumes : des troubles du transite, mais aussi des pancréatites chroniques et plus globalement, des inflammations digestives.

Seulement, pour l'œil non-aguerri du consommateur, il peut sembler compliqué de repérer ce qu’est une bonne ou une mauvaise protéines animales pour un chien. Voici quelques exemples des types de protéines à absolument bannir de l’alimentation de votre chien, pour le bien de son pancréas :

• Les sous-produits animaux¹²¹³. Si ce terme ne vous dit rien, vous le trouverez souvent indiqué dans la composition des aliments pour chien et chat… et la réalité qui se cache derrière est loin d’être ragoutante. Il s’agit en fait d’un mélange de tous les bas-morceaux d’animaux que notre industrie agro-alimentaire humaine n’a pas le droit d’utiliser dans ses produits. Ils ne sont pas propres à la consommation humaine. Ainsi s’y trouvent mêlés têtes, carcasses, cuirs, cous, pattes, becs, plumes, et toute autre joyeuseté que nous humains, ne digérons pas… alors imaginez bien votre chien !
• Les protéines et graisses animales issues de pays aux législations peu fermes. Tous les pays au monde n’ont en effet pas la même attention à la qualité des protéines animales dans l’alimentation canine que la France. C’est ainsi, par exemple, qu’en Amérique du Nord, il est totalement légal et commun de voir intégrées dans les pâtées et croquettes pour chien des viandes avariées recyclées à la Javel¹⁴ ou à l’acide, ou encore des viandes reconstituées à partir d’une mixture mélangeant farines animales d’origine souvent inconnue, de graisses, de minéraux et d’eau. Les protéines de mauvaise qualité ne sont pas sans conséquence sur la santé de nos chiens, et notamment sur leurs pancréas… D’ailleurs, la vigilance est de rigueur, même en France, puisque la DGCCRF indique clairement que bon nombre de fabricants usent et abusent déjà de l’appellation “viande fraîche” sur leurs produits¹⁵.

Les glucides en trop grande quantité

Si vous êtes adepte des sites Internet et réseaux sociaux liés à la santé animale, peut-être avez-vous beaucoup entendu parler de l’effet des glucides sur la santé de votre compagnon. En effet, ils sont très souvent diabolisés par les lanceurs d’alertes aux croquettes toxiques, qui disent que ces glucides (notamment issus des céréales) seraient indigestes pour nos chiens… mais la réalité est toutefois à modérer.

En effet, la littérature scientifique à date est formelle quant à la digestibilité des glucides issus des céréales (comme le maïs ou le riz) : ils sont tout à fait digestibles, à hauteur de 99% de digestibilité pour les chiens et les chats chez certaines marques, en fonction du mode de cuisson¹⁶¹⁷.

Dans les faits, ils sont très peu souvent à l’origine d’insuffisances pancréatiques chez le chien mais un taux trop élevé de glucides dans sa nourriture jouera bien évidemment tout de même un rôle non-négligeable.

Au-delà de 33% (soit ⅓ de la composition de l’aliment), ces glucides peuvent à terme affecter davantage les fonctions digestives du pancréas de votre chien… mais pas que ! Ils sont également à l’origine d’obésité canine, de diabète, et d’infections urinaires chroniques¹⁸.

En somme, en termes de glucides dans les pâtées ou croquettes, point trop n’en faut, pour soigner l’insuffisance pancréatique du chien.

Comme vous le voyez, l’insuffisance pancréatique de votre chien provient très probablement de sa gamelle. La question qui demeure est : un chien guérit-il d’une pancréatite ou d’une insuffisance pancréatique qui pourrait en découler ? La bonne nouvelle est que oui, comme peuvent en attester de très nombreux témoignages véritables que vous découvrez ici :

3 étapes pour guérir votre chien de sa pancréatite

Nombreux sont les propriétaires qui nous approchent en nous expliquant comment ils ont essayé de régler les soucis d’insuffisance pancréatique ou de pancréatite de leur chien… en vain ou laissant systématiquement place à la récidive. Nombre d’entre eux étaient désespérés.

A chaque fois que cela se passe, nous répondons de la même manière : en leur préconisant cette méthode en 3 étapes 100% naturelles, qui permet de soigner au mieux la santé du pancréas de nombreux de nos compagnons.

Étape 1 : Mettre votre chien à jeun pendant 24h

Dans un premier temps, il est recommandé de mettre le chien à la diète pendant 24h. Rassurez-vous : ce processus n’aura aucun effet négatif sur sa santé, bien au contraire ! Ces 24h à jeun sont cruciales pour aider à calmer l’inflammation du pancréas en expulsant de son organisme les éléments toxiques ou inflammatoires à l’origine de l’insuffisance pancréatique.

Il s’agit d’une étape qui permet de préparer le terrain pour les 2 étapes suivantes.

Étape 2 : Un ajout momentané de viande directement dans son alimentation

Avant de parler de l’étape suivante, sachez qu’amener un portion de viande crue directement dans sa gamelle ne peut qu’être un coup de pouce supplémentaire à la nature. En effet, jamais une croquette, quand bien même elle serait la meilleure au monde, ne sera équivalente à de la viande crue donnée directement à votre chien.

Cela peut être du poulet, du canard, de l’agneau ou du lapin. Évitez le boeuf ou trop de porc (source d’un grand nombre d’intolérances et d’acidification). En termes de quantité, vous pouvez par exemple mélanger la moitié de sa ration de croquettes (de qualité !) à 1,1% de son poids en viande crue, soit 110 grammes pour 10 kg de poids.

L’ajout de viande ne fera qu’accélérer l'enrayement du processus inflammatoire organique qui s’est installé, et qui est aujourd’hui à l’origine de l’insuffisance pancréatique de votre chien. N’hésitez pas à nous demander conseil dans les commentaires ou directement par email.

Étape 3 : Lui choisir une alimentation adaptée à ses Besoins Biologiques et Naturels

Vous vous en doutiez, si vous avez bien lu ce qui précède : pour guérir l’insuffisance pancréatique du chien, il s’agit de changer son alimentation, pour la remplacer par des aliments réellement adaptés à ses Besoins Biologiques et Naturels.

Mais alors la question se pose très naturellement : que doit-on donner à manger à un chien qui a une pancréatite ou une insuffisance pancréatique ? La réponse tient en ces 5 critères alimentaires, simples à retenir, et à appliquer sur le contenu de sa gamelle :

1. Une nourriture sans légume, tubercule, légumineuse ou fruit. Vous savez désormais qu’ils provoquent tout un panel de soucis de santé chez nos chiens, et leur sont fondamentalement inadaptés. A vous d’en supprimer toute trace dans sa gamelle !
2. Une nourriture incluant uniquement des protéines et graisses animales provenant d’abattoirs agréés à la consommation humaine, et de pays aux législations fermes. La qualité comme la provenance des protéines animales ont leur importance : ne souscrivez à rien de moins bien que ce que vous consommeriez vous-même, la santé de votre chien en dépend !
3. Une nourriture au taux de glucides de maximum 33% (soit ⅓ de la composition de l’aliment). Pour éviter d’aggraver l’insuffisance pancréatique du chien, mais aussi son état de santé global, ce critère est crucial. Attention, les légumes (tubercules et légumineuses) contiennent tout autant de glucides que les céréales, mais sont des ingrédients dont les conséquences sont clairement à redouter, et encore plus dans l’insuffisance pancréatique du chien. Privilégiez donc une croquette avec une faible quantité de céréales et sans légumes.
4. Une nourriture cuite à basse température. Le mode de cuisson de l’aliment a directement une incidence sur la qualité et le caractère inflammatoire ou non des protéines et graisses utilisées. Dans l’insuffisance pancréatique du chien, il est donc conseillé d’utiliser une fabrication de la croquette avec un mode de cuisson sain, qui préserve l’intégrité de l’aliment. Bon à savoir : cuits à haute température, les céréales et/ou légumes et protéines libèrent respectivement des acrylamides²⁰ (cancérigènes) et des Advanced Glycated End products²¹ (AGE, toxiques pour les reins du chien). Tous deux sont des éléments inflammatoires pour l’organisme.
5. Une nourriture testée en laboratoire contre les métaux lourds, mycotoxines et OGM. Ces éléments, bien qu’invisibles à l’oeil nu, ne cessent d’être pointés du doigt comme potentiellement nocifs pour nos animaux comme pour nous autres, humains. Et malheureusement, le marché de la PetFood en regorge ! En témoignent par exemple deux études récentes²²)²³ (anglaise et italienne) qui ont analysé la présence d’Arsenic, un métal lourd, dans des aliments pour chien et chat. Résultat : pas moins de 24% de ces aliments contenaient des concentrations totales en Arsenic dépassant la limite légale édictée par la directive 2002/32 /CE. Ces découvertes ont d’ailleurs poussé l’un des laboratoires en charge de l’étude à notifier 7 fois le RASFF²⁴, rien que sur la période 2011-2012. Alors comment éviter ces soucis ? En demandant de la transparence aux fabricants de PetFood, qui doivent faire tester leurs produits contre ces éléments pour gagner la confiance des consommateurs.

Chez CROQ’ la Vie, nous nous engageons au quotidien pour la santé animale, en proposant aux maîtres et à leurs chiens, depuis prêt de 15 ans déjà, un aliment correspondant totalement aux besoins originels de nos compagnons : les croquettes CROQ’ la Vie.

Elles accompagnent à merveille tout chien, depuis leur plus jeune âge jusqu’à la fin de leur vie. Cette alimentation a permis notamment à bon nombre d’entre eux de retrouver la santé après avoir été victime d’une inflammation pancréatique, qu’il s’agisse d’une pancréatite aiguë (avec récidive) ou d’une pancréatite chronique.

Grâce à leurs 72% d’ingrédients d’origine animale provenant uniquement d’abattoirs agréés à la consommation humaine, leurs 23% de glucides seulement, et évidemment leur absence totale de légumes, elles ont été créées pour aider au mieux votre compagnon à retrouver sa pleine santé… et la conserver ! Nous avons également à cœur de sélectionner nos ingrédients directement sur nos chères terres françaises, pour une traçabilité et une qualité optimale.

Et si votre chien était le prochain à en profiter pour guérir de son insuffisance pancréatique ?

Si vous souhaitez plus d’informations ou de conseils sur la santé de votre compagnon, prenez le temps de nous écrire, ci-dessous dans les commentaires ou par email. Nous mettons un point d’honneur à vous répondre personnellement, en vous partageant les bonnes pratiques de la Santé par l’Alimentation©.

Références

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4. [↑] Westermarck E, Wiberg M. Exocrine pancreatic insufficiency in the dog: historical background, diagnosis, and treatment. Top Companion Anim Med. 2012 Aug;27(3):96-103. doi: 10.1053/j.tcam.2012.05.002. Epub 2012 Jun 23. PMID: 23148848.
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7. [↑] Le raisin : enregistré au Centre Antipoison Animal, Chapitre “plantes toxiques” : https://www.centre-antipoison-animal.com/raisin.html
8. [↑] L’ail et l’oignon : enregistrés au Centre Antipoison Animal, Chapitre “plantes toxiques” : https://www.centre-antipoison-animal.com/oignon.html
9. [↑]  FDA (U.S. Food and Drug Administration) : FDA Investigation into Potential Link between Certain Diets and Canine Dilated Cardiomyopathy / Enquête de la FDA sur le lien possible entre certains régimes et la cardiomyopathie dilatée canine – Mis à jour le 27 juin 2019 : https://www.fda.gov/animal-veterinary/news-events/fda-investigation-potential-link-between-certain-diets-and-canine-dilated-cardiomyopathy
10. [↑] FDA (U.S. Food and Drug Administration) - Questions & Answers: FDA Center for Veterinary Medicine’s Investigation into a Possible Connection Between Diet and Canine Heart Disease - June 27, 2019 : https://www.fda.gov/animal-veterinary/animal-health-literacy/questions-answers-fda-center-veterinary-medicines-investigation-possible-connection-between-diet-and
11. [↑] Tous les rapports de DCM : Dilated Cardiomyopathy in Dogs & Cats : Complaints Submitted to FDA-CVM - January 1, 2014 – April 30, 2019 : https://www.fda.gov/media/128303/download
12. [↑] SIFCO (Syndicat des Industries Françaises des Coproduits Animaux) – Valorisation des sous-produits ou co-produits animaux : https://www.sifco.fr/valorisation#coproduits
13. [↑] RÈGLEMENT (CE) No 1069/2009 DU PARLEMENT EUROPÉEN ET DU CONSEIL – du 21 octobre 2009 – établissant des règles sanitaires applicables aux sous-produits animaux et produits dérivés non destinés à la consommation humaine et abrogeant le règlement (CE) no 1774/2002 (règlement relatif aux sous-produits animaux) : https://eur-lex.europa.eu/LexUriServ/LexUriServ.do?uri=OJ:L:2009:300:0001:0033:FR:PDF
14. [↑] Viandes avariées recyclées aux Etats Unis et en Europe : https://www.amisdelaterre.org/communique-presse/tafta-ttip-la-viande-a-la-javel-s-approche-de-nos-assiettes/
15. [↑] Mentions d’étiquetage sur les aliments pour chiens et chats – Direction générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des fraudes (DGCCRF) : https://www.economie.gouv.fr/dgccrf/mentions-detiquetage-sur-aliments-pour-chiens-et-chats
16. [↑] Carciofi, A. C., Takakura, F. S., De‐Oliveira, L. D., Teshima, E., Jeremias, J. T., Brunetto, M. A., & Prada, F. (2008). Effects of six carbohydrate sources on dog diet digestibility and post‐prandial glucose and insulin response. Journal of Animal Physiology and Animal Nutrition, 92(3), 326-336. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/18477314
17. [↑] De-Oliveira, L. D., Carciofi, A. C., Oliveira, M. C. C., Vasconcellos, R. S., Bazolli, R. S., Pereira, G. T., & Prada, F. (2008). Effects of six carbohydrate sources on diet digestibility and postprandial glucose and insulin responses in cats. Journal of Animal Science, 86(9), 2237-2246. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/18469063
18. [↑] Faculté de Médecine Vétérinaire de Montréal – Service diagnostic – Urology : https://www.medvet.umontreal.ca/servicediagnostic/materiel_pedagogique/urologie/uro_chimie.html
19. [↑] Westermarck E, Junttila JT, Wiberg ME. Rôle des graisses alimentaires faibles dans le traitement des chiens atteints d'insuffisance pancréatique exocrine. Journal américain de la recherche vétérinaire. 1995 mai; 56 (5): 600-605.
20. [↑] FRC (Fédéraction Romande des Consommateurs) - Croquettes pour chat : la gamelle qui rend malade : https://www.frc.ch/croquettes-pour-chat-la-gamelle-qui-rend-malade/
21. [↑] Bohlender JM (Klinik für Innere Medizin III, Universitätsklinik Jena, Erlanger Allee 101, Jena, Germany), Franke S, Stein G, Wolf G : Advanced glycation end products and the kidney - Am J Physiol Renal Physiol. 2005 Oct;289(4):F645-59 : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/16159899
22. [↑] Squadrone S , Brizio P , Simone G , Benedetto A , Monaco G , Abete MC – “Presence of arsenic in pet food : a real hazard ?” (Présence d’arsenic dans les aliments pour animaux de compagnie : un danger réel ?) – Vet Ital. 29 décembre 2017; 53 (4) : 303-307. doi : 10.12834 / VetIt.530.2538.2. : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/29307124 (Version entière au format PDF : http://www.izs.it/vet_italiana/2017/53_4/VetIt_530_2538_2.pdf
23. [↑] M. Davies , R. Alborough , L. Jones , C. Davis , C. Williams , et DS Gardner, (2017) : Mineral analysis of complete dog and cat foods in the UK and compliance with European guidelines “Analyse minérale d’aliments complets pour chiens et chats au Royaume-Uni et conformité aux directives européennes.” : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC5719410/#CR5
24. [↑] RASFF - Food and Feed Safety Alerts : Créé en 1979, RASFF permet un partage efficace des informations entre ses membres (autorités nationales de sécurité des aliments des États membres de l'UE, Commission, EFSA, ESA, Norvège, Liechtenstein, Islande et Suisse) et fournit un service 24h / 24 pour garantir les notifications sont envoyées, reçues et traitées collectivement et efficacement. Grâce au RASFF, de nombreux risques en matière de sécurité alimentaire ont été évités avant d'avoir pu être nocifs pour les consommateurs européens. - https://ec.europa.eu/food/safety/rasff_en