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Cystite et infection urinaire chat
Phyto Urée pour chat : comment l’utiliser chez votre compagnon ?
Votre chat, souffre-t-il d’infections urinaires à répétition ? Sa santé rénale est-elle défaillante ?
Si vous lisez cet article, vous êtes sans doute à la recherche d’un traitement naturel contre les problèmes urinaires ou rénaux de votre chat. Vous êtes au bon endroit.
Dans cet article, vous trouverez les informations nécessaires sur Phyto Urée pour chat. Lisez bien jusqu’à la fin, car vous découvrirez les véritables causes de problèmes urinaires et rénaux de nos chats.
- Qu’est-ce que Phyto Urée pour chat ?
- Comment utiliser Phyto Urée chez le chat ?
- Comment reconnaître une cystite chez le chat ?
- Comment se manifeste une insuffisance rénale chez le chat ?
- L’origine méconnue des problèmes rénaux chez le chat
- Comment prévenir les problèmes rénaux chez le chat ?
- Pour la santé de nos chiens, CROQ’ la Vie a décidé d’aller encore plus loin
Qu’est-ce que Phyto Urée pour chat ?
Phyto Urée pour chat 1est un traitement à base de plantes qui permet de traiter les problèmes urinaires chez le chat et chez le chien, notamment l’urée et les cystites.
C’est un antiseptique urinaire qui augmente l‘élimination rénale et joue un rôle de prévention chez les chats ayant des problèmes rénaux ou urinaires.
Il est composé à parts égales de 5 plantes, comme :
- La busserole (20 %), un puissant antiseptique urinaire et intestinal très actif sur les colibacilles, responsables d’infections urinaires chez le chat.
- La bruyère (20 %), un antiseptique urinaire (l'arbutine), qui a également des propriétés diurétiques et sédatives. On l’utilise pour traiter les cystites, urétrites, prostatites et lithiases urinaires.
- La bugrane (20 %), un diurétique qui aide à éliminer le chlorure et le sodium, ainsi qu’à traiter la cystite.
- L’olivier (20 %), connu pour son action diurétique.
- L’orthosiphon ou thé de Java (20 %), qui augmente l’élimination rénale de l’eau, mais aussi de l’urée, des chlorures et de l’acide urique.
Comment utiliser Phyto Urée chez le chat ?
Phyto Urée s’utilise en traitement de fond, pendant une période minimum d’un mois.
La posologie dépend du poids de votre chat : il faut lui administrer 1ml de ce liquide par tranche de 5kg, 1 à 2 fois par jour. Administrez le traitement à jeun, directement dans la gueule de votre chat, à l’aide de la doseuse fournie. Vous pouvez aussi mélanger le liquide à son repas habituel.
Comment reconnaître une cystite chez le chat ?
Les cystites peuvent être douloureuses pour le chat. Voici les symptômes qui doivent vous alerter :
- Votre chat urine souvent, par petite quantité, parfois en dehors de la litière
- Il miaule lors des mictions en raison de la douleur
- Le chat se lèche excessivement au-dessus de la vessie
- Ses urines ont une forte odeur, due à la présence des bactéries
- Du sang dans les urines du chat
- La présence des cristaux fins sur la fourrure du chat, autour de l’ouverture du tractus urinaire
- Une perte d’appétit.
Si vous constatez un ou plusieurs de ces symptômes, il est conseillé de consulter votre vétérinaire qui pourra confirmer le diagnostic en effectuant un test urinaire, afin de confirmer son origine et d’administrer le traitement adéquat.
Sachez également que selon leur origine, il existe deux types de cystite chez le chat :
- Une cystite inflammatoire, provoquée par une acidité excessive des urines du chat ou encore des calculs rénaux
- Une cystite infectieuse, qui sont d’origine bactérienne et qui apparaissent lorsque le pH des urines du chat est déséquilibré
Cette distinction est importante à connaître, car ces deux types d’infections urinaires ne sont pas traités de la même manière.
Toutefois, le point commun entre deux types de cystite est l’équilibre du pH urinaire du chat. Lorsque ce pH est déséquilibré, il favorise la prolifération des bactéries (qui causent la cystite bactérienne) ou leur acidité excessive, ce qui entraîne une cystite inflammatoire.
Sachez que le pH urinaire normal d’un chat doit se situer entre 6 et 7, idéalement aux alentours de 6,5. Si le pH urinaire du chat devient alcalin, cela déséquilibre son système urinaire et provoque des cystites. Il en est de même pour les calculs rénaux qui se forment si le pH des urines du chat est déséquilibré.
Pour tout savoir sur les infections urinaires chez le chat, consultez notre article DOSSIER “Comment guérir et prévenir l’infection urinaire chez le chat ?”.
Comment se manifeste une insuffisance rénale chez le chat ?
Les reins ont un rôle vital chez le chat : c’est un filtre vivant dont le rôle est de purifier le sang et donc l’organisme du chat.
Pour ce faire, les reins doivent nettoyer le sang en éliminant les déchets et les toxines (comme l’urée et la créatinine) pour assurer le bon fonctionnement de l’organisme, maintenir son équilibre en eau, produire les hormones, réguler la tension artérielle ou encore aider à la création des globules rouges.
Hélas, l’insuffisance rénale chronique (IRC) chez le chat est devenue un véritable fléau : 90 % des chats en sont atteints à partir de l’âge de 15 ans2) et plus de 50 % des chats atteints ont 7 ans ou plus34)). Il n’est pas toujours aisé de détecter cette maladie, dans la mesure qu’au début, le chat ne présente pas (ou peu) de symptômes).
Cependant, ces signes doivent vous alerter :
- Le chat boit et urine beaucoup : souvent, c’est le premier symptôme observé (polyuro-polydipsie).
- Sa litière est plus humide que d’habitude, ce qui est le signe que le chat urine beaucoup plus que d’habitude.
- Le chat est abattu (apathie), on observe une baisse de forme générale, il dort beaucoup et son état se dégrade progressivement.
- Sa posture est voûtée au niveau lombaire.
Lorsque les reins du chat ne filtrent plus suffisamment le sang, les toxines, dont l’urée, commencent à sérieusement s’accumuler. Le chat développe alors de nouveaux symptômes :
- Perte d’appétit dans les insuffisances rénales avancées (lorsque l’urée est déjà bien augmentée, soit supérieure à 2 g par litre de sang (ou 200 mg/dl).
- Mauvaise haleine (halitose)
- Vomissements et diarrhées fréquents
- Amaigrissement avec fonte musculaire
- Déshydratation
- Inflammation de la muqueuse buccale (stomatite) avec ulcères buccaux, voire une hypersalivation.
Ces symptômes sont signe d’urgence et témoignent d’une insuffisance rénale déjà bien installée chez le chat.
Pour tout savoir sur l’insuffisance rénale chez le chat, consultez notre article DOSSIER “Insuffisance rénale du chat : donnons-leur UNE CHANCE de guérir”.
L’origine méconnue des problèmes rénaux chez le chat
Nous ne le dirons jamais assez : la qualité de l’alimentation de votre chat est primordiale pour sa santé rénale et urinaire (et pour sa santé en général !).
Si cette alimentation est de mauvaise qualité, elle contribue directement au déséquilibre de son pH urinaire et laisse la porte ouverte aux infections et aux calculs.
Or, de nombreux soucis urologiques chez les chats (dont les infections urinaires et la formation des calculs) sont très souvent et majoritairement liés à une alimentation bien trop riche en légumes ou céréales. Comme nous l’explique le Centre d’Urologie de la Faculté de Médecine vétérinaire de Montréal5 : “Un animal dont la ration est surtout composée de céréales ou de légumes [et que cela soit dans ses croquettes ou en ration ménagère,] aura un pH alcalin des urines. Cette modification du pH laisse la porte ouverte à toutes les infections urinaires et potentiels risques rénaux qui peuvent en découler. Ce sont aussi les modifications du pH urinaire qui sont à l’origine de cristaux minéraux formant les calculs ou lithiases.”
D’autres vétérinaires confirment cet argument : “Les principales causes des calculs vésicaux sont en réalité la modification du pH des urines ainsi que leur concentration anormale.6”
Ainsi, les légumes, les tubercules, les légumineuses et les fruits sont tout simplement inadaptés à la nature carnivore du chat et, en plus de déséquilibrer le pH de ses urines, provoquent des irritations de son système digestif.
Sachez que ces ingrédients n’ont fait leur apparition que très récemment dans l’alimentation animale (depuis 2017) et nous commençons seulement à observer leurs effets néfastes sur la santé sur le moyen et le long terme.
Outre les légumes, sachez que les céréales en trop grande quantité peuvent entraîner des troubles urinaires, mais aussi des problèmes de santé plus graves, comme l’obésité et le diabète. Il vous faudra donc faire particulièrement attention à la quantité de glucides dans les croquettes que vous donnez à votre animal.
En effet, l’excès des glucides dans l’alimentation animale peut être à l’origine d’infections urinaires chroniques.7
De même, les protéines de mauvaise qualité ont un impact néfaste sur la santé rénale de nos félins : en effet, l’excès de protéines de mauvaise qualité est aujourd’hui responsable de ce fléau qui est l’insuffisance rénale chronique.
Les sous-produits animaux, les protéines dont on ignore la qualité et l’origine, les viandes reconstituées, avariées ou recyclées… Toutes les législations nationales n’imposent pas les mêmes d’exigences quant à la transparence de la composition de l’alimentation animale.
Aujourd’hui, face à la flambée de l’IRC chez le chat depuis quelques années, il est légitime de s’interroger sur leur lien avec l’alimentation industrielle.
Contrairement aux croquettes pour chien, les aliments pour chat ont bien souvent un taux de protéines plus élevé. Les protéines ne sont pas mauvaises en soi, mais c’est bien leur qualité qui est en question. Or, les protéines provenant de la viande de bonne qualité sont coûteuses : ne devrait-on pas s’interroger sur le lien entre ces protéines de mauvaise qualité et les problèmes d’insuffisance rénale ?
Comment prévenir les problèmes rénaux chez le chat ?
Vous le savez désormais : l’alimentation joue un rôle primordial dans la santé urinaire et rénale de nos chats.
Mais qu’est-ce qu’une alimentation réellement adaptée à leurs besoins ? C’est celle qui respecte ces 5 critères :
- Des protéines animales de qualité
On l’oublie trop souvent, mais les chats sont avant tout des carnivores par nature. Ils ont donc besoin d’une grande quantité de protéines animales (et non de protéines végétales !). Faites attention à ce que les croquettes que vous donnez à votre compagnon contiennent des protéines animales de bonne qualité, c’est-à-dire qu’elles ne proviennent pas de certains sous-produits animaux.8 En effet, ces sous-produits comme becs, carcasses, plumes irritent fortement l’appareil digestif du chat. Privilégiez donc les protéines issues de petites proies telles que le poulet ou le canard. - Un taux de glucides limité
Si les glucides ne sont pas mauvais en soi, ils ne doivent pas dépasser un tiers de la composition totale des croquettes. Pourquoi un tiers ? Car au-delà de cette limite, ils perdent des effets neutres sur la santé de nos chats conduisent à la prise de poids et peuvent même conduire à d’autres soucis de santé, comme le diabète, l’obésité ou les infections urinaires chroniques.5 - Aucun tubercule, légume ou légumineuse
Vous le savez désormais : les légumes, les tubercules et les légumineuses sont à bannir absolument de la gamelle de votre chat. Assurez-vous donc que l’alimentation que vous lui donnez n’en contienne pas, car ils peuvent entraîner des soucis de santé, comme certaines maladies chroniques du système digestif, urinaire et dermatologique, voire bien pire. - Une cuisson à basse température
Même si la croquette est de la nourriture sèche, il est important de faire attention au mode de cuisson. En effet, lorsque les croquettes sont cuites à une très haute température, elles perdent en qualité nutritionnelle, mais libèrent aussi des éléments toxiques.910 - Des tests en laboratoire indépendant
La moindre des choses en tant que maître est de savoir ce que vous donnez à manger à votre chat, n’est-ce pas ? Choisissez les fabricants qui sont transparents, aussi bien sur l’étiquette que dans l’affichage de leurs résultats d’analyses. Ainsi, les croquettes de votre félin ne doivent pas contenir d’OGM ou de métaux lourds. Ces éléments se retrouvent malheureusement encore trop souvent dans les gamelles de nos animaux de compagnie.
SOYEZ EXIGEANT POUR L’ALIMENTATION DE VOTRE CHAT
Téléchargez dès maintenant l’infographie ci-dessous et suivez bien ces 5 critères pour être sûr de ne pas faire d’erreur. Ces 5 critères ont déjà permis à de nombreux maîtres d’aider leur chat à préserver sa bonne santé.
Pour la santé de nos chiens, CROQ’ la Vie a décidé d’aller encore plus loin
CROQ’ la Vie ne se contente pas de faire de bonnes croquettes. C’est pour cela que lorsque nous fabriquons nos croquettes, non seulement nous appliquons strictement ces 5 critères, mais nous allons au-delà !
Pourquoi nos croquettes font-elles vraiment la différence :
- Zéro tubercule, légumineuse, ou autre légume et fruit
- 70 % d’ingrédients d’origine animale, provenant d’abattoirs agréés à la consommation humaine
- 21 % de glucides seulement… un des taux les plus bas du marché !
- Une cuisson basse température
- Des ingrédients français, pour une traçabilité optimale
- Des tests menés en laboratoires indépendants, dont vous pouvez consulter les résultats ici.
Nous sommes la seule marque de croquettes à publier les résultats, car nous pensons, comme vous, que la transparence c’est un gage de confiance !
Une alimentation vraiment adaptée à ses besoins nutritionnels lui permettra de rester en bonne santé toute sa vie.
Si CROQ’ la Vie devient progressivement la référence en matière d’alimentation santé et bien-être pour vos chats et chiens c’est d’abord grâce à VOUS ! En effet, les milliers de témoignages et de remerciements que vous nous faites parvenir à propos des effets bénéfiques de nos croquettes sur la santé et le bien-être de vos compagnons sont notre fierté.
Et parce que CROQ’ la Vie vous prend au sérieux, Trustpilot certifie tous vos avis.
MERCI !
Découvrez la marque CROQ’ la Vie et ses valeurs !
Une question peut-être ? N’hésitez pas à nous la poser dans les commentaires ci-dessous où directement par email. Votre confiance est précieuse pour nous, c’est pour cela qu’on vous écoute, attentivement et on vous conseille, vraiment.
retrouver tous les commentaires de cet articleRéférences
- [↑] https://www.phyto-compagnon.com/soins-et-traitements-specifiques/45-phyto-uree.html
- [↑] Christina L Marino, B Duncan X Lascelles, Shelly L Vaden et Margaret E Gruen, « Prevalence and classification of chronic kidney disease in cats randomly selected from four age groups and in cats recruited for degenerative joint disease studies », Journal of Feline Medicine and Surgery, vol. 16, no 6, 11 novembre 2013, p. 465–472 (ISSN 1098-612X et 1532-2750, 10.1177/1098612x13511446, lire en ligne
- [↑] Thierry Francey et Ariane Schweighauser, « Klinische Epidemiologie von Nierenerkrankungen bei der Katze. », Vet. Focus, vol. 28, 2008, p. 2–7 (ISSN 0965-4593
- [↑] R. E. Jepson et al., « Evaluation of predictors of the development of azotemia in cats. », J. Vet. Intern. Med., vol. 23, 2009, p. 806–813 (ISSN 0891-6640, PMID 19566846
- [↑] [↑] Faculté de Médecine Vétérinaire de Montréal – Service diagnostic – Urology : https://www.medvet.umontreal.ca/servicediagnostic/materiel_pedagogique/urologie/uro_chimie.html
- [↑] Faculté de Médecine Vétérinaire de Montréal – Service diagnostic – Urology : https://www.medvet.umontreal.ca/servicediagnostic/materiel_pedagogique/urologie/uro_chimie.html
- [↑] Faculté de Médecine Vétérinaire de Montréal – Service diagnostic – Urology : https://www.medvet.umontreal.ca/servicediagnostic/materiel_pedagogique/urologie/uro_chimie.html
- [↑] https://eur-lex.europa.eu/LexUriServ/LexUriServ.do?uri=OJ:L:2009:300:0001:0033:FR:PDF Ce règlement inclut dans les sous-produits animaux les carcasses, têtes, cuirs, cornes, pieds, pattes, plumes, sang, placenta, laine, poils, sabots
- [↑] FRC (Fédéraction Romande des Consommateurs) - Croquettes pour chien : la gamelle qui rend malade : https://www.frc.ch/croquettes-pour-chat-la-gamelle-qui-rend-malade/
- [↑] Bohlender JM (Klinik für Innere Medizin III, Universitätsklinik Jena, Erlanger Allee 101, Jena, Germany), Franke S, Stein G, Wolf G : Advanced glycation end products and the kidney - Am J Physiol Renal Physiol. 2005 Oct;289(4):F645-59 : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/16159899
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