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Insuffisance rénale chat
24 janvier 2021
Urée du chat & insuffisance rénale : les explications, et comment l’aider


Vous venez de recevoir les résultats de l’analyse de sang de votre compagnon, et le verdict est tombé : le taux d’urée de votre chat témoigne d’une potentielle insuffisance rénale. En vous renseignant sur le sujet, vous craignez le pire, car la pathologie semble difficile à traiter.
Ne vous inquiétez pas : cet article est destiné aux propriétaires souhaitant comprendre ce que signifie le taux d’urée du chat, et surtout, quel traitement à l’insuffisance rénale tenter pour le guérir.
Besoin de tout savoir sur l’insuffisance rénale du chat, de ses origines aux symptômes de la pathologie ? Prenez le temps de consulter notre dossier Insuffisance rénale du chat : donnons-leur UNE CHANCE de guérir
Quand l’urée du chat est-elle signe d’insuffisance rénale ?
L’urée du chat (également appelée urémie) est mesurée pour diagnostiquer l’insuffisance du débit de filtration glomérulaire des reins du chat, et donc une potentielle insuffisance rénale. Elle se mesure grâce à une prise de sang, faite par le vétérinaire.
Cependant, sachez-le : pour diagnostiquer l’IRC chez un chat, il est crucial d’également mesurer le taux de créatinine dans son sang.
Voici les taux d’urée et de créatinine normaux chez le chat :
- Urée norme chez le chat : 0.2 à 0.5 g/L (20 à 50 mg/dl)
- Créatinine norme chez le chat : 5.5 mg/L à 14 mg/L (0,55 à 1,40 mg/dl)
Plus ces taux sont élevés, plus c’est le signe que le débit de filtration glomérulaire des reins du chat est insuffisant. C’est ce qui provoque l’accumulation dans son organisme des déchets, et ce qui provoque chez lui la crise d’urémie du chat, et donc la pathologie.
Ceci étant, il est fréquent que le chat présente une urée élevée, mais une créatinine normale. Dans ce cas, on ne peut pas affirmer clairement qu’il souffre d’insuffisance rénale. Si cela peut être le signe que l’IRC commence à se développer chez votre compagnon, cela peut également être le signe qu’il souffre d’une destruction des globules rouges, ou d’une hémorragie gastro-intestinale.
Bon à savoir : Bien souvent, les vétérinaires vont mesurer d’autres éléments dans le sang du chat pour diagnostiquer l’insuffisance rénale :
- La SDMA (Symetric Dimethyl Arginine), qui est un bon indicateur du débit de filtration glomérulaire1
- Le taux de phosphate sanguin : s’il est élevé (hyperphosphatémie), c’est souvent un signe d’IRC, car le phosphate s’accumule dans ses reins
- Le nombre de globules rouges : s’il a diminué, c’est le signe d’une hématocrite, et donc potentiellement d’une IRC au stade avancé2
Quels sont les différents stades de l’insuffisance rénale (et l’espérance de vie de votre compagnon) ?
À partir de ces constats scientifiques sur la créatinine et l’urée du chat, vous vous demandez sans doute ce que ces taux, chez votre propre chat, signifient.
L’International Renal Interest Society (IRIS) a défini différents stades de l’insuffisance rénale chez le chat, adaptés ensuite par la Société européenne de néphrologie et urologie vétérinaire en quatre stades principaux, grâce au taux de créatinine dans le sang.
On détermine que le chat est…
- En insuffisance rénale de stade 1 quand la créatinine est inférieure à 140 µmol/l (< 1,6 mg/dl ou 16 mg/L)
- En insuffisance rénale de stade 2 quand la créatinine se situe entre 140 et 248 µmol/l (1,6–2,8 mg/dl ou 16-28 mg/L) À ce stade de l’IRC, les symptômes sont faibles ou encore absents.
- En insuffisance rénale de stade 3 quand la créatinine se situe entre 250 et 442 µmol/l (2,9–5 mg/dl ou 29-50 mg/L). Les symptômes sont alors très nets, les reins du chat n’arrivent plus à compenser, et on considère qu’environ 25 % des reins sont encore fonctionnels.
- En insuffisance rénale de stade 4 (aussi appelée phase terminale) quand la créatinine est supérieure à 442 µmol/l (> 5 mg/dl ou 50 mg/L). Les symptômes sont alors très importants, et la fonction rénale résiduelle de votre compagnon est de moins de 10%.
Jusqu’au stade 3, le pronostic vital du chat n’est pas engagé ; mais il faut tout de même réagir rapidement pour éviter que la pathologie ne se développe plus.
Aux stades 3 et 4 (phase terminale de l’insuffisance rénale du chat), bon nombre de professionnels de la santé animale vont vous conseiller d’euthanasier votre compagnon. Bien sûr, il s’agit d’une décision qui vous appartient à vous, maître aimant qui ne souhaitez pas voir votre compagnon souffrir.
Cependant, il est important, pour vous comme pour lui, d’être sûr que vous avez tout essayé pour le sauver. Vous allez découvrir dans la partie suivante nos conseils, issus du terrain, pour tenter de guérir l’insuffisance rénale de votre chat.
Car nous avons très souvent observé des cas d’amélioration de l’état de santé de chats et de chiens en insuffisance rénale, et ce même aux stades avancés. C’est notamment le cas pour les chats en insuffisance rénale de stade 3.
Une histoire pour vous donner de l’espoir
Aux Joyeuses Gambades, nous élevons d’adorables bouviers, mais sommes également accompagnés de chats, qui cohabitent paisiblement avec nos petits pensionnaires. Nini vivait à l’élevage, et souffrait d’une insuffisance rénale chronique depuis toute petite. Nous la nourrissions avec des pâtées pour chat standard.
Un jour, nous avons accueilli un chien en convalescence pendant 2 mois. Très vite, après cette période, nous nous sommes rendu compte que Nini n’urinait plus aussi fréquemment qu’avant, et buvait de manière tout à fait normale. Surpris, nous avons pris le parti de demander une analyse sanguine à notre vétérinaire… qui nous a révélé que ses taux d’urée et de créatinines étaient de nouveau à la normale, et que son insuffisance rénale avait disparu !
Nous avons compris à quoi cette guérison était liée : pendant ces 2 mois, Nini avait mangé dans la même gamelle que le chien en convalescence. Ce chien mangeait nos croquettes CROQ’ la Vie… et Nini en a profité pleinement, pour guérir de sa pathologie, et faire retrouver à ses reins une santé de fer !

Comment traiter l’insuffisance rénale du chat, et tenter de le guérir ?
Si vous vous êtes déjà penché sur la question de comment faire baisser les taux de créatinine et d’urée de votre chat, vous avez sans doute entendu parler des traitements traditionnellement proposés en cas d’insuffisance rénale du chat.
Le souci de ces traitements médicamenteux ? Ils se focalisent sur les symptômes de la pathologie, et n’en éliminent pas les causes. Or, pour viser la guérison de votre compagnon, c’est bien ce que vous devez faire : remonter aux sources de sa maladie, pour lui trouver un traitement de l’insuffisance rénale du chat à la racine !
C’est pourquoi nous vous proposons de découvrir 3 étapes totalement naturelles pour améliorer ses taux d’urée et de créatinine, si possible jusqu’à la guérison de son insuffisance rénale chronique.
Étape 1 : Donner du repos à son organisme
Il traîne encore sur Internet et dans les pratiques communes des idées reçues sur l’insuffisance rénale du chat et du chien. Parmi elles, l’une d’entre elles demeure très commune : celle qui voudrait que l’on donne à l’animal souffrant de cette pathologie 3 à 5 petits repas par jour.
Au-delà de ne pas fonctionner, cette pratique peut empêcher les reins de votre chat de se régénérer, car elle les sur-sollicite.
Au contraire, l’organisme de votre chat a besoin d’être mis au repos ! D’ailleurs, souvent, à un certain stade de la pathologie, les chats atteints d’IRC perdent l’appétit. C’est tout à fait normal, et c’est bien un signe qu’ils souhaitent mettre leurs reins au repos.
Laissez donc l’opportunité à votre chat de réduire ses efforts de digestion :
- S’il a toujours un peu d’appétit, proposez-lui un seul repas par jour. Ne laissez pas sa gamelle à disposition toute la journée.
- S’il n’a plus d’appétit du tout, commencez par lui faire faire un jeûne de 24h. Vous pourrez ensuite renouveler ce jeûne une seconde fois, pendant 24 à 48h.
Ces périodes à jeun vont l’aider à éliminer les éléments toxiques de son organisme, et à se focaliser sur la régénération de ses reins. Ne vous inquiétez pas s’il perd du poids pendant cette période. Il vaut mieux qu’il en soit ainsi, mais que son organisme prenne le temps de se régénérer, petit à petit.
Bon à savoir : Même si cela est assez rare, l’IRC du chat peut provenir plus ou moins directement de causes médicamenteuses. C’est notamment le cas avec…
Vérifiez donc sur les notices des médicaments que votre animal prend qu’elles ne mentionnent pas des effets secondaires de type néphrites interstitielles aiguës (NIA), qui mènent très souvent à des insuffisances rénales, ou des cas d’insuffisance rénales directement.
Bonne nouvelle cependant : dans ces cas précis,selon le Dr Thierry Gauthier et le Pr Jean-Pierre Wauters, le fait d’arrêter le traitement rapidement peut faire stopper les symptômes liés à l’IRC de l’animal5.
N’hésitez pas à nous contacter si c’est le cas : nous avons pu, avec le temps, acquérir des connaissances à propos des traitements naturels qui peuvent remplacer ces traitements-ci.
Étape 2 : Lui fournir une nourriture de qualité et adaptée à ses besoins originels
C’est un fait : l’augmentation de la créatinine et de l’urée chez le chat, provoquant l’insuffisance rénale, est éminemment liée à l’alimentation que vous donnez à votre compagnon. Plusieurs causes alimentaires sont à pointer du doigt dans cette pathologie : pour les connaître en détail, n’hésitez pas à consulter la partie de notre dossier consacrée au sujet.
Ce qu’il faut retenir de ces causes, c’est bien que votre compagnon a besoin de retrouver une alimentation qui respecte ses Besoins Biologiques et Naturels pour guérir de sa maladie.
Or, l’exercice peut sembler difficile aujourd’hui, lorsqu’on sait combien les étiquettes de la nourriture industrielle qui est proposée à nos compagnons peuvent être hermétiques. Lorsqu’elles ne le sont pas, certains propriétaires peinent à savoir de quoi leur animal a réellement besoin, ce que ses besoins originels lui dictent.
Pas de souci ! Voici les quelques critères de qualité alimentaire que toute nourriture adaptée à un chat souffrant d’insuffisance rénale doit suivre :
- Une nourriture sans légume, tubercule, légumineuse ou fruit. Parce que votre chat est un carnivore par nature, ces ingrédients lui sont inadaptés, et provoquent des irritations chroniques de son système digestif. En ce sens, ils ne sont pas inoffensifs pour les reins du chat : en rendant le pH des urines plus alcalin, ils peuvent provoquer des infections urinaires6, qui peuvent elles-mêmes déboucher sur des risques rénaux sévères. D’ailleurs, le Centre Antipoison Animal de l’École Nationale Vétérinaire classe d’ores et déjà certains d’entre eux comme “toxiques” : c’est le cas de la pomme de terre7, du raisin8, de l’ail et de l’oignon9. Ainsi, que la nourriture contienne des pommes de terre, des patates douces, des lentilles, des pois, des pois chiches, des petits pois, des tomates, des courgettes ou autres… bannissez-le de sa gamelle, pour sa santé globale !
- Une alimentation pleine de bonnes protéines et graisses animales, de qualité. Vous avez peut-être entendu dire que, pour soigner l’insuffisance rénale du chat, il fallait réduire son apport en protéines. C’est encore une fois une idée reçue, qui n’a pas de fondement scientifique. Le souci se trouve bien plutôt dans la qualité de ces protéines, et non leur quantité. Veillez donc à éviter les sources protéiques de qualité discutable, comme les sous-produits animaux1011 (qui sont en fait les déchets de notre industrie agroalimentaire humaine). L’origine de ces protéines a également son importance, tous les pays n’ayant pas la même fermeté législative sur le sujet. Par exemple, en Amérique du Nord, il est légal (et très fréquent) de voire utilisées dans la nourriture animale des viandes avariées recyclées à la Javel12, ou encore des viandes reconstituées à partir d’une mixture à base de farines animales (à l’origine souvent inconnue), de graisses, de minéraux, et surtout de beaucoup d’eau. Exit ces protéines animales qui mettent les reins de votre chien en péril ! Place à des protéines et graisses animales provenant d’abattoirs agréés à la consommation humaine, et provenant de pays aux législations strictes, comme la France.
- Une nourriture présentant un bon équilibre minéral. Les chercheurs recommandent que la nourriture pour chat présente un rapport calcium/potassium (Ca/P) de 1,2 à 1,4 / 1. Celui-ci vous permettra de préserver sa santé, notamment rénale, tout au long de sa vie !
- Un taux de glucides de 33% maximum (soit ⅓ de la composition de l’aliment). C’est seulement au-delà de ces 33% que les glucides perdent leur effet neutre sur la santé de l’animal, le rendant plus aisément sujet aux problèmes de diabète, d’obésité… et d’infections urinaires qui, comme vous le savez, peuvent déboucher sur des soucis rénaux.
- Une nourriture cuite à basse température. Le saviez-vous ? Lorsqu’ils sont cuits à une haute température, certains ingrédients libèrent des Advanced Glycated End products, aussi nommés AGE. Ces éléments sont à l’origine de modifications structurelles des néphropathies progressives telles que la glomérulosclérose, la fibrose interstitielle et l’atrophie tubulaire. Et malheureusement, ces soucis débouchent bien souvent sur des insuffisances rénales chez les chats1314. Privilégiez donc la cuisson basse température, qui sera également plus respectueuse de l’intégrité nutritionnelle des ingrédients de la pâtée ou de la croquette.
- Un aliment testé en laboratoire contre les métaux lourds et les mycotoxines. C’est pointé de plus en plus du doigt par les scientifiques : ces éléments ont une grande influence négative sur notre santé comme celle de nos animaux. Pour les en protéger, il vous faut vous tourner vers des fabricants qui gagnent votre confiance en affichant clairement les résultats des tests menés en laboratoires indépendants sur leurs aliments. La santé de nos animaux en dépend !
Armé de ces 6 critères-clés, vous voilà paré à trouver une alimentation idéale pour le chat atteint d’insuffisance rénale chronique. Vous supprimerez ainsi de sa gamelle toutes les origines de la pathologie, et l’aiderez à retrouver une santé rénale (et globale !) de fer.

CROQ’ la Vie vous aide à soigner votre compagnon
C’est en n’étant pas satisfaits des aliments disponibles sur le marché que nous avons décidé, il y a plus de 15 ans, de créer nos propres croquettes CROQ’ la Vie. Désormais disponibles pour les chats, elles contiennent tout ce qu’il faut à votre compagnon pour améliorer ses taux de créatinine et d’urée, et tenter de le soigner.
Dedans, vous trouverez pas moins de 70% d’ingrédients d’origine animale, de qualité, car provenant d’abattoirs agréés à la consommation humaine, ainsi que 21% de glucides seulement, et bien sûr, aucun légume, fruit, tubercule ou légumineuse. Besoin de preuves de notre attention à la santé animale ? Nos aliments ont été testés en laboratoires, et nous en affichons fièrement les résultats sur notre site web.
Et si votre chat était le prochain à bénéficier de la gourmandise et de la qualité de CROQ’ la Vie ?
Étape 3 (pour les cas d’IRC les plus avancés) : Lui proposer de la viande crue
Lorsque le chat est en insuffisance rénale de stade 3 ou 4, la nature peut avoir besoin d’un petit coup de pouce pour le soigner. C’est le cas de votre compagnon ? Proposez-lui exclusivement de la viande crue pendant quelques semaines.
Non seulement cet aliment sera plus appétant pour lui, dont l’appétit doit avoir diminué ; mais en plus, il sera plus digeste pour ses reins. Proposez-lui de la volaille (poulet, dinde, canard), et non du bœuf ou du porc, qui peuvent s’avérer dangereux pour lui. Cette bonne viande va l’aider à mieux filtrer le sang dans ses reins, et donc à évacuer les toxiques de son organisme.
Besoin de plus de conseils de notre part, pour aider votre compagnon à se sortir de son IRC ? Nous sommes là pour vous aider : il suffit de nous contacter, via les commentaires ci-dessous ou par email directement. C’est toujours un plaisir de vous répondre personnellement, en vous prodiguant les leçons apprises depuis le terrain, et par les dernières études scientifiques à date.
retrouver tous les commentaires de cet articleRéférences
- [↑] « IRIS CKD Guidelines Updates 2014 – 2015 »
- [↑] Reto Neiger, « Chronische Niereninsuffizienz », dans Marian C. Horzinek al., Krankheiten der Katze., Enke, 2005, p. 404–412
- [↑] Cryst C, Hammar SP. Acute granulomatous interstitial nephritis due to co-trimoxazole. Am J Nephrol 1988 ; 8 : 483-8. : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/3265285/
- [↑] Whelton A. Nephrotoxicity of nonsteroidal anti-inflammatory drugs : Physiologic foundations and clinical implications. Am J Med1999 ; 106 : 13S-24S. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/10390124/
- [↑] Th. Gauthier, J.-P. Wauters, Les néphrites interstitielles aiguës, Rev Med Suisse 2000, volume 4.20361 : https://www.revmed.ch/RMS/2000/RMS-2289/20361
- [↑] Faculté de Médecine Vétérinaire de Montréal – Service diagnostic – Urology : https://www.medvet.umontreal.ca/servicediagnostic/materiel_pedagogique/urologie/uro_chimie.html
- [↑] Toxicité digestive et nerveuse de la Pomme de terre – Centre antipoison Animal de l’Ecole Nationale Vétérinaire : https://www.centre-antipoison-animal.com/pomme-terre.html
- [↑] Le raisin : enregistré au Centre Antipoison Animal, Chapitre “plantes toxiques” : https://www.centre-antipoison-animal.com/raisin.html
- [↑] L’ail et l’oignon : enregistrés au Centre Antipoison Animal, Chapitre “plantes toxiques” : https://www.centre-antipoison-animal.com/oignon.html
- [↑] SIFCO (Syndicat des Industries Françaises des Coproduits Animaux) – Valorisation des sous-produits ou co-produits animaux : https://www.sifco.fr/valorisation#coproduits
- [↑] RÈGLEMENT (CE) No 1069/2009 DU PARLEMENT EUROPÉEN ET DU CONSEIL – du 21 octobre 2009 – établissant des règles sanitaires applicables aux sous-produits animaux et produits dérivés non destinés à la consommation humaine et abrogeant le règlement (CE) no 1774/2002 (règlement relatif aux sous-produits animaux) : https://eur-lex.europa.eu/LexUriServ/LexUriServ.do?uri=OJ:L:2009:300:0001:0033:FR:PDF
- [↑] Viandes avariées recyclées aux Etats Unis et en Europe : https://www.amisdelaterre.org/communique-presse/tafta-ttip-la-viande-a-la-javel-s-approche-de-nos-assiettes/
- [↑] Bohlender JM (Klinik für Innere Medizin III, Universitätsklinik Jena, Erlanger Allee 101, Jena, Germany), Franke S, Stein G, Wolf G : Advanced glycation end products and the kidney – Am J Physiol Renal Physiol. 2005 Oct;289(4):F645-59 : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/16159899
- [↑] Gentzel JB (2013) Does contemporary canine diet cause cancer ? ; A review, Vet World 6(9):632-639, DOI:10.14202/vetworld.2013.632-639, Version PDF de l’étude : http://www.veterinaryworld.org/Vol.6/Sept-2013/10.pdf
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Davy Ros :
Ostéopathe D.F.O. et Hygiéniste, spécialisé en nutrition animale à l’élevage Joyeuses Gambades.
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