Insuffisance rénale du chien & Alimentation : toutes les clés pour le soigner

Insuffisance rénale du chien et alimentation : voilà deux éléments qu’on ne met pas assez souvent en corrélation… et c’est pourtant dans l’association de ces deux termes que l’on comprend, à la fois, les origines de la pathologie, et son traitement !

Et si l’alimentation pouvait accroître l’espérance de vie d’un chien atteint d’insuffisance rénale, voire le soigner ? C’est le pari que fait cet article, en vous dévoilant 3 étapes-clés pour guérir votre compagnon. Un pari déjà maintes fois réussi, comme vous le verrez par les témoignages véritables que nous vous partageons.

Pourquoi insuffisance rénale du chien et alimentation sont intimement liées

C’est un fait que l’on constate aujourd’hui, les cas d’insuffisance rénale chez le chien sont en forte recrudescence ces dernières années… C’est également une alerte partagée par l’élevage des Joyeuses Gambades, éleveurs également engagés depuis plus de 30 ans dans la santé animale. Et on ne peut s’en étonner lorsque l’on voit ce qui se trouve dans la gamelle de nos compagnons.

En effet, insuffisance rénale du chien et alimentation sont intimement liées : ce que consomme votre compagnon a sans doute à voir avec cette pathologie qui lui coûte la santé.

L’insuffisance rénale était autrefois réservée uniquement aux chiens âgés, mais touche aujourd’hui des chiens bien moins âgés et même de plus en plus jeunes, et pour cause…

Vous aurez sans doute entendu dire que les protéines étaient à blâmer pour la pathologie rénale de votre chien… et c’est tout à fait vrai, à cela près que l’on s’intéresse bien trop souvent à la quantité de ces protéines, et non au réel problème : leur qualité.

Contrairement à ce qui est communément dit, il a été prouvé qu’une nourriture très riche en protéines de qualité augmente la filtration du sang par les reins (clairance rénale)¹, et donc est excellente contre l’insuffisance rénale.

Ce n’est pas parce qu’un chien consommera trop de protéines qu’il tombera malade, mais bien parce qu’il consomme des protéines qui lui sont par nature inadaptées, ou de qualité médiocre.

On constate en effet 3 sources de protéines majoritairement à l’origine de l’insuffisance rénale du chien dans l’alimentation :

• Les sous-produits animaux². Tout à fait autorisés dans la nourriture animale, ils sont pourtant constitués de tous les déchets de l’industrie agro-alimentaire humaine, soit de toutes les parties des animaux qui ne sont pas agréés à la consommation humaine : têtes, carcasses, cuirs, cous, pattes, becs, plumes³… Leur consommation par nos compagnons demande bien-sûr à leur foie et leurs reins un travail plus intense et qui n’a rien d’anodin. Avec le temps, leur consommation va jusqu’à développer des insuffisances rénales chez le vieux chien âgé et aujourd'hui chez des chiens bien plus jeunes malheureusement. Ils sont d’ailleurs également à l’origine de bon nombre de selles molles et diarrhées chroniques, atteinte du pancréas et autres troubles hépatiques chez les chiens aujourd’hui. A cela on peut ajouter également l’utilisation de farine animale de très pauvre qualité dont les effets sont sensiblement les mêmes.
• Les protéines issues de viandes provenant de pays aux législations laxistes. Si, en France, la loi est quelque peu plus stricte qu’ailleurs en matière de protéines animales pour nos animaux domestiques, ce n’est pas le cas de tous les pays… et la médiocre qualité de ces protéines est elle aussi non sans lien avec le développement de l’insuffisance rénale liée à l’alimentation. C’est ainsi que dans les pays d’Amérique du Nord, il est tout à fait légal et tout à fait courant d’utiliser dans la nourriture animale des viandes avariées recyclées à la Javel⁴ ; ou encore des viandes reconstituées à base d’eau, de graisses, et de farines animales d’origine douteuse. Malheureusement, en Europe, nous ne sommes pas à l’abri de protéines animales de basse qualité, puisque, comme l’indique clairement la DGCCRF, bon nombre de fabricants usent et abusent communément également de l’appellation “viande fraîche”⁵.
• Les protéines d’origine végétale. Eh oui : c’est difficile à croire, mais pourtant, depuis une dizaine d’années seulement, les fabricants de PetFood ne cessent d’intégrer dans l’alimentation de nos carnivores domestiques des légumes, tubercules ou légumineuses riches en protéines végétales. Or, leur organisme n’est absolument pas conçu pour les digérer : leur intestin étant 3 fois plus court que celui de l’homme. Leur organisme est donc incapable de les assimiler, ce qui donne du fil à retordre à leur système digestif, urinaire et rénal. Pois-chiches, lentilles, haricots, pois, et compagnie sont déjà bien mal digérés par bon nombre d’humains… alors imaginez un instant les répercussions dans les intestins et plus largement dans l’organisme de nos carnivores. D’ailleurs, la situation est assez inquiétante pour que des organismes réputés dans la santé animale fassent cas de la toxicité de ces ingrédients pour nos animaux. Le Centre Antipoison Animal de l’Ecole Nationale Vétérinaire classe d’ores et déjà la pomme de terre⁶, le raisin⁷, l’ail et l’oignon⁸ comme toxiques. Quant à la Food and Drug Administration (FDA) des Etats-Unis, elle publie chaque année des rapports très parlants sur le lien entre certains légumes, leurs dérivés (protéine de…, amidon de…, fibre de…) et des cas de cardiomyopathies chez le chien⁹¹⁰¹¹. Ainsi, qu’il s’agisse de pommes de terre, de patates douces, de pois, de petits-pois, de pois-chiches, de lentilles, de courgettes, de tomates ou d’autres incongruités, il s’agit de les éviter à tout prix, au risque de faire flancher la santé rénale (et même globale) de votre chien.

C’est donc bien dans la gamelle que se trouve l’origine de l’insuffisance rénale du chien, dans son alimentation. Et il est temps pour vous d’apprendre comment l’alimentation peut venir soigner voire guérir la pathologie de votre compagnon, même parfois à des stades très avancés, et même s’il s’agit d’un vieux chien âgé.

Et si c’était d’origine médicamenteuse ?

Attention : l’insuffisance rénale du chien (souvent en plus d’une alimentation inadaptée) peut également provenir d’un ou de traitements médicamenteux que votre chien consomme. En effet, bon nombre de médicaments peuvent avoir des conséquences graves sur les reins de nos compagnons, et parmi eux certains antibiotiques ou diurétiques, mais aussi tous les anti-inflammatoires non-stéroïdiens, antituberculeux et hypo-uricémiants.

Dans ces cas-ci, le Pr Jean-Pierre Wauters et le Dr Thierry Gautier (Division de néphrologie, Département de médecine CHUV de Lausanne) expliquent que “Dans les formes d'insuffisances rénales d’origine médicamenteuse, l’éviction précoce de la substance responsable est le principal déterminant du pronostic”¹².

Si votre chien prend ce type de traitement, nous vous recommandons de lire la partie consacrée au sujet de notre dossier sur l’insuffisance rénale. Vous pourrez ainsi, en toute conscience, trouver une alternative au traitement actuel de votre chien, qui provoque ses soucis rénaux. N’hésitez pas à demander conseil dans les commentaires ou à nous contacter directement par email.

Etape 1 : Mettre son système digestif au repos

Dans un premier temps, c’est le fait de réduire la fréquence des repas de votre chien qui va jouer un grand rôle sur sa santé rénale. En effet, son organisme a tout d’abord besoin de vrais moments repos, pour pouvoir se focaliser sur l’élimination des éléments toxiques qui nuisent à ses reins, en dehors de la période de digestion.

• Si votre chien fait plus de 40kg : faites-le jeûner 1 à 2 jours par semaine, pendant 24h complètes.
• Si votre chien fait moins de 40kg : donnez-lui un seul repas par jour

Naturellement ces recommandations ne s’appliquent que si votre chien a encore l’appétit et à condition que vous lui donniez une vraie alimentation de qualité comme nous allons le voir.

Loin de lui faire du mal, cette “diète” va mettre son système digestif au repos. Son organisme, lui, va pouvoir se concentrer pleinement à l’élimination les éléments qui entravent son bon fonctionnement. D’ailleurs, si votre chien est à un stade avancé de son insuffisance rénale, peut-être n’aura-t-il tout simplement pas faim. Dans ce cas il se mettra naturellement à la diète.

Etape 2 : Lui trouver une alimentation adaptée à ses besoins originels

Bonne nouvelle : si l’insuffisance rénale est souvent provoquée par l’alimentation, c’est également par l’alimentation qu’il est possible de soigner l’insuffisance rénale ! D’ailleurs, si nous avons pu voir de nombreux chiens s’en sortir au fil des années, c’est bien grâce à une alimentation de réelle qualité, adaptée à leurs Besoins Biologiques et Naturels.

Seulement, aujourd’hui, vous avez un peu peur : peur de mal choisir pour votre chien, peur de ne pas prendre soin de lui et de l’aider comme il le mérite… En effet, aujourd’hui il est difficile pour beaucoup de consommateurs de pouvoir faire confiance à un fabricant de PetFood, quand bien même il promouvrait des croquettes “spéciales insuffisances rénales” ou une alimentation “adaptée aux besoins spécifiques” de votre chien. Et quelque part vous n’avez pas tort…

La clé est bien de regarder au-delà des slogans marketing, et de se pencher de près sur les étiquettes des croquettes ou pâtées que vous choisissez pour votre compagnon. L’objectif : que, sur ces étiquettes, vous voyez appliqués les 5 critères de qualité alimentaire suivants :

L’aliment doit être…

1. Sans légume, tubercule, légumineuse ou fruit. Vous connaissez désormais leurs effets nocifs sur l’organisme de votre chien, mais également sur sa santé globale. Nous recommandons donc tout simplement d’éviter tout aliment en contenant, pour le bien de votre chien et de ses besoins réels.
2. Fait à base de protéines et graisses animales provenant de viandes issues d’abattoirs agréés à la consommation humaine, et de pays aux législations strictes. Les protéines animales de réelle qualité sont celles qui ne vont pas apporter de toxines et qui vont aider votre compagnon à davantage filtrer le sang dans ses reins. Privilégiez donc le meilleur pour votre chien, avec des protéines et graisses animales d’une qualité irréprochable, issues de pays ayant adopté une législation des plus strictes en matière d’alimentation animale.
3. Contenir moins de 33% de glucides (soit ⅓ de la composition de l’aliment). En effet, si les glucides sont nécessaires à la formation d’un aliment sec, lorsqu’ils dépassent les 33% de l’aliment, ils perdent leur effet neutre sur l’organisme du chien. Résultat ? De l’obésité, du diabète, et des infections urinaires¹³ chroniques. Vous ne voudriez tout de même pas aggraver l’état de santé de votre chien, en provoquant chez lui de nouvelles pathologies ?
4. Cuite à basse température. Bon nombre de propriétaires ne le savent pas mais, à haute cuisson, les protéines libèrent des Advanced Glycated End products (AGE). Le problème, c’est que ces AGE sont très nocifs pour les reins de votre chien et participent pleinement à son aggravation, quand ils n’en sont pas tout simplement à l’origine¹⁴. Faites le beau cadeau à votre chien de lui servir une nourriture cuite à basse température, qui préservera qui plus est l’intégrité nutritionnelle des ingrédients de l’aliment.
5. Testée en laboratoires contre les métaux lourds, mycotoxines et OGM. Les métaux lourds sont invisibles autant à l’oeil nu que sur les sachets de croquettes et de pâtées. Parmi les métaux lourds les plus fréquents et toxiques pour les reins du chien, qu’il soit âgé ou non, on peut citer : le cadmium, le plomb et le mercure. Or, ce que les consommateurs ne savent bien souvent pas, c’est qu’on les retrouve de manière croissante dans la nourriture animale ces dernières années. C’est notamment le cas de l’Arsenic, que plusieurs études ont retrouvé en quantité dépassant les limites européennes maximales dans des aliments pour chien et pour chat¹⁵¹⁶). La vigilance est donc de rigueur : demandez des preuves, sous forme de résultats officiels de tests laboratoire contre ces éléments. Nous le faisons personnellement pour la santé de nos propres chiens, pourquoi pas vous ? N’hésitez pas à demander conseil dans les commentaires ou à nous contacter directement par email.

Une telle alimentation, ne pourra que prendre soin de votre chien face à l’insuffisance rénale qu’il a développé. Dans une majorité de cas, il verra ses effets diminuer voire totalement disparaître après quelques mois. Nous avons pu en faire l’expérience à de multiples reprises, voyant très rapidement les taux d’urée et de créatinine des chiens baisser, jusqu’à guérison totale, comme vous avez pu le lire au travers des témoignages en milieu d’article.

C’est notamment le cas de France et de sa chienne Bounty, qui nous ont partagé leur expérience il y a quelques années de cela :

Preuve que l’insuffisance rénale du chien n’est pas toujours mortelle, loin de là : il s’agit de ne pas baisser les bras, et de lui fournir l’alimentation dont il a réellement besoin pour se soigner.

CROQ’ la Vie : des croquettes pensées pour la santé des chiens

Depuis 15 ans déjà nous proposons aux propriétaires des chiens qui, comme nous, veulent suivre la philosophie de la Santé par l’Alimentation©, les croquettes CROQ’ la Vie.

Dedans, vous trouverez tout ce qu’il faut à votre chien pour retrouver une réelle santé rénale (et globale) :
- 72% d’ingrédients d’origine animale, provenant uniquement de viandes issues d’abattoirs agréés à la consommation humaine
- Aucun légume, fruit, tubercule ou légumineuse
- 23% de glucides seulement (un record pour une croquette sans légumes)
- Une cuisson basse température
- Des tests en laboratoires fièrement affichés sur notre site web

Nous avons la chance de disposer en France de l’une des législations les plus strictes en matière d’alimentation animale. Pour certains, c’est une raison de délocaliser leur production. Pour nous, c’est le contraire : c’est la bonne raison d’y rester !

En somme, les croquettes CROQ’ la Vie constituent de véritables croquettes rénales, une alimentation faite pour aider contre l’insuffisance rénale du chien, par sa qualité.

Etape 3 (dans les cas avancés) : Miser sur le pouvoir de la viande crue

Si votre chien en est à un stade avancé de la pathologie, avec une insuffisance rénale de stade 3 ou 4 (quand la créatinine dépasse les 30 mg/L ou 3mg/dl), sans doute la nature aura-t-elle besoin d’un coup de pouce supplémentaire.

En effet, jamais une croquette, quand bien même elle serait la meilleure au monde, ne sera équivalente à de la viande crue donnée directement à votre chien.

Pour mettre toutes les chances de guérison du côté de votre compagnon, vous devrez alors lui apporter une source de très bonnes protéines, sous la forme de viande crue directement intégrée à sa ration quotidienne. Il doit s’agir de viande destinée à la consommation humaine : du poulet, du canard, de l’agneau ou du lapin, et surtout jamais de boeuf ou de porc (source d’un grand nombre d’intolérances et d’acidification).

En termes de quantité, vous pouvez par exemple mélanger la moitié de sa ration de croquettes (de qualité !) habituelle à 1,1% de son poids en viande crue. Ce faisant, vous augmenterez encore sa clairance rénale, et boosterez donc davantage la purification de son sang.

On vous a signalé que le pronostic vital de votre compagnon était réellement engagé (insuffisance rénale en phase terminale) ? Si votre chien a encore l’appétit, partez alors sur une alimentation 100% à base de viande crue pendant 3 semaines.

L’insuffisance rénale du chien est une pathologie complexe, qui peut rapidement dégénérer si elle n’est pas soignée par une alimentation réellement adaptée aux besoins originels de l’animal. De vrais conseils avisés peuvent également faire toute la différence.

Parce qu’il nous tient à coeur de vous accompagner dans ces difficultés, n’hésitez pas à nous contacter directement, via les commentaires ci-dessous ou par email. Nous vous partagerons des conseils de bon sens, mais qui ont déjà fait toute la différence pour de nombreux chiens atteints de cette pathologie malheureusement devenue trop commune aujourd’hui.

Références

1. W J O’Connor R A Summerill : The effect of a meal of meat on glomerular filtration rate in dogs at normal urine flows. – 01 March 1976 : https://doi.org/10.1113/jphysiol.1976.sp011312[↑]
2. SIFCO (Syndicat des Industries Françaises des Coproduits Animaux) – Valorisation des sous-produits ou co-produits animaux : https://www.sifco.fr/valorisation#coproduits[↑]
3. RÈGLEMENT (CE) No 1069/2009 DU PARLEMENT EUROPÉEN ET DU CONSEIL – du 21 octobre 2009 – établissant des règles sanitaires applicables aux sous-produits animaux et produits dérivés non destinés à la consommation humaine et abrogeant le règlement (CE) no 1774/2002 (règlement relatif aux sous-produits animaux) : https://eur-lex.europa.eu/LexUriServ/LexUriServ.do?uri=OJ:L:2009:300:0001:0033:FR:PDF[↑]
4. Viandes avariées recyclées aux Etats Unis et en Europe : https://www.amisdelaterre.org/communique-presse/tafta-ttip-la-viande-a-la-javel-s-approche-de-nos-assiettes/[↑]
5. Mentions d’étiquetage sur les aliments pour chiens et chats – Direction générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des fraudes (DGCCRF) : https://www.economie.gouv.fr/dgccrf/mentions-detiquetage-sur-aliments-pour-chiens-et-chats[↑]
6. Toxicité digestive et nerveuse de la Pomme de terre – Centre antipoison Animal de l’Ecole Nationale Vétérinaire : https://www.centre-antipoison-animal.com/pomme-terre.html[↑]
7. Le raisin : enregistré au Centre Antipoison Animal, Chapitre “plantes toxiques” : https://www.centre-antipoison-animal.com/raisin.html[↑]
8. L’ail et l’oignon : enregistrés au Centre Antipoison Animal, Chapitre “plantes toxiques” : https://www.centre-antipoison-animal.com/oignon.html[↑]
9. FDA (U.S. Food and Drug Administration) : FDA Investigation into Potential Link between Certain Diets and Canine Dilated Cardiomyopathy / Enquête de la FDA sur le lien possible entre certains régimes et la cardiomyopathie dilatée canine – Mis à jour le 27 juin 2019 : https://www.fda.gov/animal-veterinary/news-events/fda-investigation-potential-link-between-certain-diets-and-canine-dilated-cardiomyopathy[↑]
10. FDA (U.S. Food and Drug Administration) - Questions & Answers: FDA Center for Veterinary Medicine’s Investigation into a Possible Connection Between Diet and Canine Heart Disease - June 27, 2019 : https://www.fda.gov/animal-veterinary/animal-health-literacy/questions-answers-fda-center-veterinary-medicines-investigation-possible-connection-between-diet-and[↑]
11. Tous les rapports de DCM : Dilated Cardiomyopathy in Dogs & Cats : Complaints Submitted to FDA-CVM - January 1, 2014 – April 30, 2019 : https://www.fda.gov/media/128303/download[↑]
12. Th. Gauthier, J.-P. Wauters, Les néphrites interstitielles aiguës, Rev Med Suisse 2000, volume 4.20361 : https://www.revmed.ch/RMS/2000/RMS-2289/20361[↑]
13. Faculté de Médecine Vétérinaire de Montréal – Service diagnostic – Urology : https://www.medvet.umontreal.ca/servicediagnostic/materiel_pedagogique/urologie/uro_chimie.html[↑]
14. Bohlender JM (Klinik für Innere Medizin III, Universitätsklinik Jena, Erlanger Allee 101, Jena, Germany), Franke S, Stein G, Wolf G : Advanced glycation end products and the kidney - Am J Physiol Renal Physiol. 2005 Oct;289(4):F645-59 : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/16159899[↑]
15. M. Davies , R. Alborough , L. Jones , C. Davis , C. Williams , et DS Gardner, (2017) : Mineral analysis of complete dog and cat foods in the UK and compliance with European guidelines “Analyse minérale d'aliments complets pour chiens et chats au Royaume-Uni et conformité aux directives européennes.” : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC5719410/#CR5[↑]
16. Squadrone S , Brizio P , Simone G , Benedetto A , Monaco G , Abete MC - “Presence of arsenic in pet food : a real hazard ?” (Présence d'arsenic dans les aliments pour animaux de compagnie : un danger réel ?) - Vet Ital. 29 décembre 2017; 53 (4) : 303-307. doi : 10.12834 / VetIt.530.2538.2. : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/29307124 (Version entière au format PDF : http://www.izs.it/vet_italiana/2017/53_4/VetIt_530_2538_2.pdf[↑]