Vers intestinaux du chat : comment l'en guérir ?

Apprenez à repérer les vers intestinaux du chat et à les soigner Apprenez à repérer les vers intestinaux du chat et à les soigner

Il n’est pas rare que nos compagnons à quatre pattes se retrouvent infestés par des parasites internes. Il est donc tout à fait normal que vous vous demandiez si votre chat ne souffre pas de vers intestinaux.

Dans cet article, vous découvrirez toutes les réponses aux questions que vous vous posez sur les vers intestinaux du chat : symptômes, diagnostic, traitement, et clés pour éviter la récidive de ces parasites.

Le prérequis : Savoir de quels vers intestinaux le chat souffre

Vous connaissez peut-être déjà les symptômes communs à tous les types de vers intestinaux chez le chat1234 : selles molles, perte de poids (parfois malgré une augmentation de l’appétit), chat qui fait le traîneau, ventre gonflé (surtout chez les chatons), pelage plus terne que d’habitude…

Mais, pour bien traiter votre chat contre son infestation de vers digestifs, vous devez savoir avec précision de quels types de parasites intestinaux il souffre. Pour ce faire, voici quelques pistes qui devraient vous aider à repérer les symptômes spécifiques à chaque type de vers parasites.

Votre chat souffre-t-il de vers ronds ?

Les symptômes propres aux affections parasitaires provoquées par les vers ronds chez le chat (aussi appelés nématodes, comme les ascaris) sont les suivants :

  • Inflammations intestinales
  • Fatigue globale
  • Comportement inhabituel, parfois, qui s’explique par le fait que les vers intestinaux commencent à s’attaquer aux terminaisons nerveuses du chat

Votre chat souffre-t-il de vers plats ?

Peut-être votre chat souffre-t-il d’infestations de vers plats (aussi appelés cestodes, par exemple le ver solitaire ou le ténia). Cela peut être le cas si vous repérez les symptômes suivants chez lui :

  • Amaigrissement, alors même que le chat mange autant qu’avant, voire qu’il est glouton
  • Apathie : votre compagnon refuse de se lever de son panier

Votre chat souffre-t-il de la Giardiose ?

La Giardiose est une maladie très commune chez nos chats, provoquée par des protozoaires nommés giardia. À l’heure actuelle, il est estimé que 14 à 20 % de nos compagnons sont affectés par cette affection56.

Heureusement, celle-ci est simple à repérer. Si votre chat a la Giardiose, ses excréments seront mous, de couleur terne (voire parfois verdâtre), et contiendront parfois des glaires (une substance gluante enveloppant ses selles). Parfois même, des filets de sang peuvent être présents dans ses selles.

Votre chat souffre-t-il de la Coccidiose ?

La Coccidiose du chat, au même titre que la Giardiose, est une pathologie très courante chez nos petits félins domestiques. Elle est déclenchée lorsque des coccidies, des protozoaires invisibles à l’œil nu, prolifèrent dans le tube digestif du chat.

Là encore, les symptômes de la Coccidiose ne trompent pas : les selles du chat sont liquides, une véritable diarrhée chronique, et de couleur orange, crème ou jaunâtre.

Vous reconnaissez parmi ces symptômes ceux que votre chat expérimente actuellement ? Attention : avant de trouver le traitement adéquat pour votre petit compagnon, il est crucial d’être sûr du diagnostic que vous avez fait.

C’est pourquoi il est recommandé de vous rendre chez le vétérinaire, pour qu’il confirme votre primo diagnostic grâce à des tests parasitaires adéquats, qui permettront d’être sûr du type de vers intestinaux dont le chat souffre.

À ce sujet, sachez que les tests contre la Giardiose et la Coccidiose sont très peu pratiqués. N’hésitez donc pas à spécifiquement les demander à votre spécialiste de la santé animale !

La solution : Trouver le traitement adapté pour soigner votre chat

Vous en êtes désormais sûr : le système digestif de votre compagnon est rempli de parasites internes, provoquant ces troubles digestifs et gastro-intestinaux. Désormais, votre vétérinaire va pouvoir vous proposer un traitement antiparasitaire adéquat, en prenant en compte les éventuelles contre-indications liées à l’état de santé de votre animal (femelles en gestation, par exemple).

Voici ceux qui vous permettront de vous débarrasser des vers intestinaux chez votre chat.

Pour traiter les vers ronds et les vers plats

Il existe plusieurs vermifuges pour chat sur le marché pour traiter les vers ronds et vers plats. L’important est de savoir que chaque vermifuge traite plusieurs parasitoses spécifiques, provoquées par un parasite en particulier.

Sur les conseils de votre vétérinaire, vous pourrez ainsi traiter votre chat avec…

Ces traitements vermifuges sont sous forme de comprimés, qu’il vous faut donner à votre chat pour éradiquer les vers intestinaux, les larves et les œufs qui logent dans son intestin.

Attention à respecter la posologie (indiquée sur la notice, à déterminer en fonction du poids de corps de votre compagnon) et, une fois le traitement administré, à bien vous laver les mains.

Pour traiter la Giardiose du chat

Contre la Giardiose du chat, en première intention, il vous faut utiliser le vermifuge Panacur9 : il s’agit du seul traitement antiparasitaire efficace contre cette parasitose, qui fonctionne dans environ 40 % des cas.

Si et seulement si ce traitement ne fonctionne pas, vous pourrez alors passer à un traitement antibiotique au Flagyl (ou Métrobactin15). Attention cependant : cet antibiotique doit être donné sous haute surveillance vétérinaire.

Pour bien soigner votre compagnon de sa Giardiose, rendez-vous sur le dossier relatif au sujet, où vous trouverez toutes les informations nécessaires.

Pour traiter la Coccidiose du chat

Sachez-le : aucun vermifuge pour chat n’est efficace pour traiter la Coccidiose du chat. Pour libérer votre animal de compagnie de son affection parasitaire aux coccidies, il vous faut vous tourner vers un antibiotique de la famille des Sulfamides/Triméthoprimes16, tels que Sultrian17 ou le Bactrim18.

Besoin d’en savoir plus sur la Coccidiose du chat ? Direction notre dossier sur le sujet, qui vous guidera plus précisément dans le traitement à apporter à votre compagnon.

Félicitations : vous avez désormais entre les mains toutes les clés pour aider votre chat ou chaton contaminé par des vers intestinaux, le soigner, et stopper ses diarrhées, selles molles, et autres soucis intestinaux.

Mais, pour que le problème ne se reproduise plus, il s’agit désormais pour vous de réfléchir à la meilleure manière d’éviter la récidive de parasitisme.

La nourriture est cruciale pour éviter la réapparition des vers instestinaux du chat

Pour éviter la récidive : Mettre en place une alimentation adaptée et de qualité

Vous savez sans doute que nos animaux de compagnie sont contaminés par des vers intestinaux par ingestion des vers eux-mêmes, de leurs larves ou de leurs œufs, très souvent en léchant des excréments d'animaux eux-mêmes contaminés.

Ce que vous ne savez peut-être pas, c’est que tous les chats exposés à des parasites digestifs ne se retrouvent pas à développer des parasitoses. En effet, seuls les félins au système immunitaire faible ne pourront pas se défendre contre ces vers, et développeront des maladies.

Or, on sait désormais aujourd’hui ce qui provoque majoritairement la baisse du système immunitaire de nos compagnons : une alimentation de piètre qualité, ou bien inadaptée à leurs Besoins Biologiques et Naturels.

A contrario, si vous mettez en place pour votre chat une alimentation de qualité, adaptée à ses besoins originels, vous n’aurez besoin de le vermifuger de manière préventive que 2 fois par an, contre 4 fois par an pour les animaux nourris avec une nourriture inadaptée.

Mais alors, qu’est-ce qu’une nourriture adaptée aux besoins originels de votre chat, qui prend soin de sa santé intestinale, et plus globalement, de sa santé tout court ?

C’est simple : tout part du fait d’accepter la nature carnivore de votre compagnon. Si vous en doutez encore, il vous suffit de regarder son système intestinal : l’intestin d’un chat est trois fois plus court que celui d’un homme, lisse et sans ostracion19, ce qui lui rend laborieuse la digestion des légumes.

Mais ce n’est pas tout : voici les quelques critères de qualité alimentaire que la nourriture que vous lui fournissez doit suivre pour préserver sa santé tout au long de sa vie.

  1. Une alimentation sans légume, fruit, tubercule ou légumineuse. Vous l’avez bien lu : la digestion de ces ingrédients est complexe pour votre compagnon. Pire encore : ils affaiblissent son système immunitaire, et déclenchent chez lui des irritations intestinales chroniques, qui peuvent provoquer des selles molles et diarrhées, des vomissements de bile, des pancréatites aiguës, des dermatites ou encore des troubles hépatiques. D’ailleurs, il est de notoriété publique que le Centre Antipoison Animal de l’École Nationale Vétérinaire classe depuis longtemps déjà la pomme de terre20, le raisin21, l’ail et l’oignon22 comme “toxiques” pour nos animaux domestiques. Ainsi, par mesure de précaution, il est recommandé d’éliminer de sa gamelle toute trace de pommes de terre, patates douces, lentilles, pois, pois chiches, petits pois, tomates, courgettes, ou d’autres ingrédients similaires.
  2. Une alimentation pleine de protéines et de graisses animales de bonne qualité. Au même titre que les légumes, les protéines animales de qualité discutable provoquent chez votre compagnon des irritations intestinales, débouchant sur les mêmes soucis de santé. Et pourtant, les protéines animales utilisées dans bon nombre de pâtées et croquettes pour chat s’avèrent fort peu recommandables pour le système digestif de nos compagnons ! C’est par exemple le cas des sous-produits animaux2324, qui sont en fait des déchets de notre industrie agroalimentaire humaine, où se mêlent têtes, carcasses, cuirs, cous, pattes, becs, plumes, et autres joyeusetés fortement irritantes. Attention également à la provenance des protéines. Car, par exemple, dans les pays d’Amérique du Nord, il est très fréquent (et totalement légal !) d’utiliser dans la PetFood des viandes avariées recyclées à la Javel25 ; voire des viandes se disant “fraîches”, qui sont en fait reconstituées à partir d’une mixture à base de farines animales (dont on connaît rarement l’origine), de graisses, de minéraux, et de beaucoup d’eau. La clé pour un aliment adapté aux besoins de nos carnivores domestiques ? Choisir une nourriture à base de protéines et graisses animales provenant d’abattoirs agréés à la consommation humaine, et de pays aux législations fermes, comme la France.
  3. Une alimentation au taux de glucides maximum de 33 % (soit ⅓ de la composition totale de l’aliment). Vous avez peut-être entendu des lanceurs d’alertes aux croquettes toxiques parler de l’impact des glucides sur la santé animale. Ces discours ne sont malheureusement pas totalement fondés. Car les études à date sont formelles : les glucides issus des céréales (comme le riz ou le maïs) sont digestibles par les chats et les chiens à 99%2627. Les glucides perdent leur effet neutre sur la santé de l’animal uniquement lorsqu’ils dépassent les 33% dans la composition de l’aliment. Seulement alors peuvent-ils déclencher des soucis d’obésité, de diabète, ou encore d’infections urinaires chroniques28. En somme : point trop n’en faut dans la gamelle de votre chat.
  4. Une alimentation cuite à basse température. Avez-vous déjà entendu parler des acrylamides29, cancérigènes notoires, et des Advanced Glycated End products30, nocifs pour les reins des chats ? Il s’agit d’éléments qui apparaissent dans la nourriture lorsque certains ingrédients sont cuits à haute température. C’est pourquoi il est fortement recommandé de choisir un aliment cuit à basse température, qui respectera l’intégrité nutritionnelle des bons ingrédients contenus dedans.
  5. Une alimentation testée en laboratoire contre les mycotoxines, OGM et métaux lourds. Saviez-vous que ces éléments, bien que reconnus comme nocifs à haute dose par la communauté scientifique, continuent à être très présents dans de nombreux aliments pour chats et pour chiens ? Rien qu’en ce qui concerne les métaux lourds (à l’origine de problèmes dermatologiques notamment), des études récentes ont démontré que 24% des aliments pour chien et pour chat analysés contenaient des concentrations totales en Arsenic dépassant la limite légale édictée par la directive 2002/32 /CE3132. Comment éviter ce type de problème ? Tout simplement en faisant confiance à des fabricants qui ont fait tester leurs produits en laboratoire indépendant, et qui peuvent vous en exposer les résultats, en toute transparence.

Grâce à une nourriture qui suit ces 5 critères de qualité alimentaire, votre chat connaîtra une hygiène intestinale optimale et une bonne santé tout au long de sa vie. De quoi l’empêcher de souffrir de nouveau d’une infestation de vers intestinaux.

CROQ’ la Vie : la Santé par l’Alimentation© avant tout

Vous recherchez une nourriture qui suive les critères que vous venez de découvrir, et qui soit bien alignée avec les Besoins Biologiques et Naturels de votre compagnon ? Optez pour les croquettes pour chat CROQ’ la Vie !

Dedans, vous ne trouverez que ce dont votre matou a besoin pour garder la santé tout au long de sa vie :

  • Zéro légume, tubercule, légumineuse ou fruit
  • 70% d’ingrédients d’origine animale, provenant d’abattoirs agréés à la consommation humaine
  • 21% de glucides seulement
  • Une cuisson basse température
  • Uniquement des ingrédients d’origine française, tracés par nos soins
  • Des tests en laboratoire, dont vous pouvez consulter les résultats ici

À vous de jouer : faites entrer votre compagnon dans la famille CROQ’ la Vie, et offrez-lui ce qu’il y a de meilleur pour sa santé !

Une question, un doute sur le sujet des vers intestinaux chez le chat, ou sur son alimentation ? N’hésitez pas à nous écrire dans les commentaires ci-dessous ou par email directement. C’est toujours avec plaisir que nous vous répondons, pour vous partager notre expertise en la matière.

retrouver tous les commentaires de cet article

Références

  1. Henry, Perrine and Huck, Claire. Etude de la prévalence des parasites gastro-intestinaux, pulmonaires et de Taxoplasma gondii chez le chat en région toulousaine. Thèse d'exercice, Médecine vétérinaire, Ecole Nationale Vétérinaire de Toulouse - ENVT, 2017, 132 p.[]
  2. Jacques Euzeby. 1987. Protozoologie médicale comparée. Volume 2, Collection Fondation Marcel Merieux[]
  3. Jean Bussiéras. 1 Janvier 1992. Abrégé de parasitologie vétérinaire. Éditeur : Ecole Nationale Vétérinaire[]
  4. Beugnet, Frédéric, and Lenaïg Halos. 2015. Parasitoses & vector borne diseases of cats.[]
  5. F. BEUGNET, J. GUILLOT, B. POLACK et R. CHERMETTE. Enquête sur le parasitisme digestif des chiens et des chats de particuliers de la région parisienne. Laboratoire de Parasitologie, École Nationale Vétérinaire de Maisons-Alfort. Revue Méd. Vét., 2000, 151, 5, 443-446,[]
  6. Epe C, Rehkter G, Schnieder T, Lorentzen L, Kreienbrock L. Giardia in symptomatic dogs and cats in Europe--results of a European study. Vet Parasitol. 2010 Oct 11;173(1-2):32-8. doi: 10.1016/j.vetpar.2010.06.015. Epub 2010 Jun 22. PMID: 20637546.[]
  7. RCP officiel : Milbemax pour chat[]
  8. RCP officiel : Drontal pour chat[]
  9. RCP Officiel du Vermifuge PANACUR pour chat[][]
  10. RCP officiel du Vermifuge Profender pour chat[]
  11. RCP officiel du Vermifuge Milbactor pour chat[]
  12. RCP officiel du Vermifuge Milpro pour chat[]
  13. RCP officiel du Vermifuge Advocate pour chat[]
  14. RCP officiel du Vermifuge Ascatene pour chat[]
  15. RCP Officiel METROBACTIN[]
  16. Amel Letaief Omezzine – CHU Farhat Hached Sousse : Les anti-coccidies, Les anti-microsporidies – 2010[]
  17. RCP Antibiotique Sultrian – anti-coccidien[]
  18. RCP Antibiotique Bactrim – anti-coccidien[]
  19. Mammalogy – Adaptation, Diversity, Ecology, de A.George Feldhamer Lee C. Drickamer Stephen H. Vessey Joseph F. Merritt Carey Krajewski – edition Johns Hopkins University Press (4ème édition) – 27 mars 2015[]
  20. Toxicité digestive et nerveuse de la Pomme de terre – Centre antipoison Animal de l’Ecole Nationale Vétérinaire : https://www.centre-antipoison-animal.com/pomme-terre.html[]
  21. Le raisin : enregistré au Centre Antipoison Animal, Chapitre “plantes toxiques” : https://www.centre-antipoison-animal.com/raisin.html[]
  22. L’ail et l’oignon : enregistrés au Centre Antipoison Animal, Chapitre “plantes toxiques” : https://www.centre-antipoison-animal.com/oignon.html[]
  23. SIFCO (Syndicat des Industries Françaises des Coproduits Animaux) – Valorisation des sous-produits ou co-produits animaux : https://www.sifco.fr/valorisation#coproduits[]
  24. RÈGLEMENT (CE) No 1069/2009 DU PARLEMENT EUROPÉEN ET DU CONSEIL – du 21 octobre 2009 – établissant des règles sanitaires applicables aux sous-produits animaux et produits dérivés non destinés à la consommation humaine et abrogeant le règlement (CE) no 1774/2002 (règlement relatif aux sous-produits animaux) : https://eur-lex.europa.eu/LexUriServ/LexUriServ.do?uri=OJ:L:2009:300:0001:0033:FR:PDF[]
  25. Viandes avariées recyclées aux Etats Unis et en Europe : https://www.amisdelaterre.org/communique-presse/tafta-ttip-la-viande-a-la-javel-s-approche-de-nos-assiettes/[]
  26. Carciofi, A. C., Takakura, F. S., De‐Oliveira, L. D., Teshima, E., Jeremias, J. T., Brunetto, M. A., & Prada, F. (2008). Effects of six carbohydrate sources on dog diet digestibility and post‐prandial glucose and insulin response. Journal of Animal Physiology and Animal Nutrition, 92(3), 326-336. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/18477314[]
  27. De-Oliveira, L. D., Carciofi, A. C., Oliveira, M. C. C., Vasconcellos, R. S., Bazolli, R. S., Pereira, G. T., & Prada, F. (2008). Effects of six carbohydrate sources on diet digestibility and postprandial glucose and insulin responses in cats. Journal of Animal Science, 86(9), 2237-2246. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/18469063[]
  28. Faculté de Médecine Vétérinaire de Montréal – Service diagnostic – Urology : https://www.medvet.umontreal.ca/servicediagnostic/materiel_pedagogique/urologie/uro_chimie.html[]
  29. FRC (Fédéraction Romande des Consommateurs) - Croquettes pour chat : la gamelle qui rend malade : https://www.frc.ch/croquettes-pour-chat-la-gamelle-qui-rend-malade/[]
  30. Bohlender JM (Klinik für Innere Medizin III, Universitätsklinik Jena, Erlanger Allee 101, Jena, Germany), Franke S, Stein G, Wolf G : Advanced glycation end products and the kidney - Am J Physiol Renal Physiol. 2005 Oct;289(4):F645-59 : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/16159899[]
  31. Squadrone S , Brizio P , Simone G , Benedetto A , Monaco G , Abete MC – “Presence of arsenic in pet food : a real hazard ?” (Présence d’arsenic dans les aliments pour animaux de compagnie : un danger réel ?) – Vet Ital. 29 décembre 2017; 53 (4) : 303-307. doi : 10.12834 / VetIt.530.2538.2. : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/29307124 (Version entière au format PDF : http://www.izs.it/vet_italiana/2017/53_4/VetIt_530_2538_2.pdf[]
  32. M. Davies , R. Alborough , L. Jones , C. Davis , C. Williams , et DS Gardner, (2017) : Mineral analysis of complete dog and cat foods in the UK and compliance with European guidelines “Analyse minérale d’aliments complets pour chiens et chats au Royaume-Uni et conformité aux directives européennes.” : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC5719410/#CR5[]

Partagez cet article

  • Facebook
  • Twitter
  • Email
  • Imprimer

Vous aimerez lire aussi…

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Cocher cette case pour accepter notre Politique de confidentialité

fermer

Un mot de davy,

Fondateur